Écrit
jardin de la arrivé
rester privés d’ailes.
Le de la flûte s’est tu,
Les
nuages d’azurite offusquent toujours.
dirait c’est l’esprit Xiang
partout,
Voyez, isolées et dénudées,
les persiennes elles bouger
comme fatras pétales
Ne dites hauteurs
Quand nous nous rencontrerons,
ce que j’adorerai.
de l’âge, voici encore
La jeunesse.
Qui, brillant
de substituerait
Un blanc perlé mille
bien regarder ce l’œuvre Ciel,
le pinceau de
sur le rouleau des peintures bambou vermillon.
Ch’i le phénix cinabre est
Il quelques se joindre ceux
son
nuages diaprés
On de la
les
de sang
dispersées, ces
À travers vont
Confuses de
que ces limpides banales,
nouveau
vous n’êtes pas vieux
Sous les
la
En harmonie brouillard
sur
y n’est pas du
C’est printemps.
de
Au de en vol,
va temps et à
tombent soudain,
Les
que
Dont larmes toquent un peu
De taches maculant tout.
silhouettes
ce tombés.
pas sont
de
Vous dessinerez
Ainsi encore :
rigueurs
figure de
au corail
pieds ?
À
là plutôt du vent