Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Quinze variations (…) (15)
Anthologie bilingue de la poésie chinoise tardive : Vent du Soir
Poèmes chinois
Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Quinze variations (…) (15)
Mèng Hào Rán (689 – 740) - Aube de printemps
Toute la nuit ce bruit de vent et de pluie…
(...)
Lĭ Yù (937 - 978) - Sur l’air de « La Belle de Yu »
Lorsque sur la petite pagode la nuit dernière vint le vent d’est,
(...)
Liŭ Yŏng (987 ? – 1053 ?) - Sur l’air de « Tintements d’une pluie sans fin »
Berges de saules et peupliers, vent de l’aube, lune décroissante.
(...)
Liŭ Yŏng (987 ? – 1053 ?) - Sur l’air de « Les flots baignent le sable » (lento)
Au réveil d’un songe, passe à travers la croisée un filet de vent,
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Liŭ Yŏng (987 ? – 1053 ?) - Sur l’air d’« Un voyage de jeunesse »
Vent d’automne par dessus la plaine,
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Liŭ Yŏng (987 ? – 1053 ?) - Sur l’air d’« Une musique de minuit »
Sur les hauts taillis le vent soudain se lève,
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Zhāng Xiān (990 – 1078) - Sur l’air d’« Un âge de mille automnes »
Sous la pluie légère le vent se fait violent,
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Zhāng Xiān (990 – 1078) - Sur l’air d’« Une immortelle céleste »
Le vent se calme,
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Zhāng Xiān (990 – 1078) - Sur l’air d’« Une gerbe de fleurs »
Et libre encore, pour convoler avec le vent d’ouest !
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Yàn Shū (991 – 1055) - Sur l’air de « Laver le sable du torrent »
Les fleurs sont tombées, vent et pluie meurtrissent plus encore le printemps.
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Yàn Shū (991 – 1055) - « Sur un air limpide et tranquille »
Vent doré, finesse, finesse,
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Yàn Shū (991 – 1055) - Sur l’air de « Marcher sur un tapis de souchets »
Le vent printanier étourdiment s’est approprié les fleurs de saules,
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Sòng Qí (998 – 1061) - Ci-gisent les fleurs
Elles vont voler et puis faire la Danseuse du vent qui tournoie,
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Yè Qīng Chén (mandarin en 1024) - Sur l’air de « Louange à notre sage Dynastie »
La dernière vent et pluie.
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Oū Yáng Xiū (1007 – 1072) - Sur l’air d’« Un papillon épris d’une fleur »
Pluie brutale et vent dément en ce mois de mars,
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Oū Yáng Xiū (1007 – 1072) - Sur l’air d’« Une fleur de magnolia »
Dans la profondeur de la nuit, vent et bambous scandent l’automne,
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Oū Yáng Xiū (1007 – 1072) - Sur l’air de « Cueillir des mûres »
Aux saules pleureurs s’enchevêtre tout un jour le vent.
(...)
Mots-clés : départ vent nature
Oū Yáng Xiū (1007 – 1072) - Sur l’air abrégé de « Les flots baignent le sable »
Levons nos verres pour célébrer le vent d’est printanier,
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Wén Tóng (1018 – 1079) - Après la pluie éclaircie de lune sur les collines
Sous un vent timide les nénuphars de l’étang ondulent,
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Yàn Jǐ Dào (1030 – 1106) - Sur l’air d’« Une pleine cour de parfums »
Lune pâle, vent glacé,
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Premier chant mélodique sur l’eau »
J’aimerais chevaucher le vent qui rentre, partir,
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Joie éternelle de la rencontre »
Le vent doux semble de l’eau,
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Souvenir d’une gracieuse enfant »
A travers les âges le vent porte la gloire des hommes.
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Pour apaiser le vent et les vagues »
Sur l’air de « Pour apaiser le vent et les vagues »
(...)
Je devine que ce souffle du vent de printemps pique pour me dégriser,
(...)
Je me retourne sur ce lieu désolé où le vent siffle depuis toujours,
(...)
Mais aussi, sans vent ni pluie, quelles éclaircies ?
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Le génie des bords du fleuve »
Dans la nuit tardive, le vent s’apaise, les plis du crêpe s’aplanissent.
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air d’« En souvenir d’une gracieuse enfant »
Je me lève, danse, me balance sous le vent et la rosée,
(...)
Alors je voudrais m’embarquer sur le vent pour en orbite circuler,
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Complainte du dragon des eaux »
En songe poursuivant le vent sur mille lieues,
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Félicitations au nouveau marié »
Des bambous cognant au vent.
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Je crains encore de sentir le vent d’ouest effaroucher le vert,
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air d’« Un voyage de jeunesse »
Ainsi c’est balle de grain emportée par le vent.
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Sū Shì (1037 – 1101) - Chronique sur le pavillon du vent limpide (extraits)
Chronique sur le pavillon du vent limpide (extraits)
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alors naît ainsi le vent.
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Le vent se lève sur les immensités virides,
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Mots-clés : vent su-dongpo
Huáng Tíng Jiān (1045 – 1105) - Sur l’air de « Pour apaiser le vent et les vagues »
Sur l’air de « Pour apaiser le vent et les vagues »
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Huáng Tíng Jiān (1045 – 1105) - Sur l’air de « Marcher sur un tapis de souchets »
Près des longs peupliers le vent agite la queue grise d’un cheval pie.
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Huáng Tíng Jiān (1045 – 1105) - Sur l’air d’« Un boddhisatva d’ailleurs »
Au vent de printemps plantes et fleurs odorent.
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Qín Guān (1049 – 1100) - Sur l’air d’« Observer les marées »
Le vent d’est à la dérobée a commué le temps.
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Zhào Lìng Zhì (1051 – 1134) - Sur l’air d’« Un papillon épris d’une fleur »
Lorsque s’enroulent les chatons selon le vent, le froid va finir.
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Cháo Bŭ Zhī (1053 – 1110) - Sur l’air d’« Un cornet de sel »
Ils s’imposent au ruisseau sous le vent,
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Zhōu Bāng Yàn (1056 – 1121) - Sur l’air d’« Une pleine cour de parfums »
Le vent a dégourdi les petits des loriots,
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Shí Yàn ( vers 1065 – 1107) - Sur l’air de « Boire aux portes d’azur »
Les chevaux des Tartares hennissent le vent,
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Yè Mèng Dé (1077 – 1148) - Sur l’air de « La Belle de Yu »
Les pétales détachés emportés dans le vent entrent dans la danse,
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Zhū Dūn Rú (1081 – 1159) - Sur l’air d’« Un bonheur s’approche »
Le vent secoue les rideaux brodés et en les écartant
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Zhū Dūn Rú (1081 – 1159) - Sur l’air d’« Au plaisir de se rencontrer »
Allons prier le vent qui s’afflige, pour que son souffle porte nos larmes au-delà de Yangzhou.
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Sòng Huī Zōng – Zhào Jí (1082 – 1135) - Vent du soir
Vent du soir
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Grâce légère qui volète à la poursuite du vent du soir.
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Mots-clés : vent soir papillon
Sòng Huī Zōng – Zhào Jí (1082 – 1135) - Jours d’été
Le vent parfumé nous effleure pour rejoindre le pavillon vermeil.
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Sòng Huī Zōng - Zhào Jí (1082 – 1135) - Sur l’air de « Le pavillon du Mont des Hirondelles »
Plus nombreuses encore au vent et à la pluie indifférents !
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Zhāng Yuán Gàn (1091 – vers 1170) - Sur l’air de « Le prince de la colline aux orchidées »
Le vent d’est, que sa jalousie des fleurs rend méchant,
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Zhāng Yuán Gàn (1091 – vers 1170) - Sur l’air de « La contrée des roches » (lento)
Alors que je voudrais voir le vent d’est,
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Liú Yī Zhĭ (1094 – 1160) - Sur l’air de « Dans la joie le loriot a déplacé son nid »
Au vent de poussière de la capitale sur la Luo !
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Comme en songe »
La nuit dernière sous pluie éparse et vent violent
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Cueillir des mûres »
Avec le soir est arrivée une bourrasque de vent mêlé de pluie,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Haïr le rejeton d’un prince »
Sur les lacs où passe le vent, les vagues à perte de vue s’éloignent,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Célébration du matin clair, avec lenteur »
Jalousie du vent, sourire de la lune,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Laver le sable du torrent »
Le vent avec finesse s’amuse à souffler la pluie en vaporeuse obscurité,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - « Poésie en musique »
Cette année le vent d’automne est plus précoce,
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Au vent du soir un reste de clarté,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Haïr le rejeton d’un prince »
Le vent avec la nuit venu.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Ivresse sous le couvert des fleurs »
Quand le store est roulé, sous le vent d’Ouest,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Laver le sable du torrent »
Au vent du soir, dans le jardin, se forme un prunier fané,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Un bodhisattva d’ailleurs »
Le vent d’ouest laisse persister un froid d’antan.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « L’orgueil d’un pêcheur »
Aux visages parfumés à demi-ouverts qui ondulent au vent avec grâce.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Le printemps au pavillon de jade »
Il n’est pas sûr que demain matin le vent ne se lèvera pas.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - « Sur un air paisible et tranquille »
Je discerne bien, quand le soir vient, la puissance du vent,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Souvenir d’une charmante suivante »
Le vent de biais apporte une pluie fine,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Un bonheur s’approche »
Le vent s’apaise, les fleurs sont tombées en tapis épais,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Laver le sable du torrent »
Au loin une cloche d’elle-même répond au vent dans le soir qui tombe.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Un bodhisattva d’ailleurs »
Le vent est doux, le soleil étiolé, le printemps encore à l’aurore,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « De nombreuses beautés »
Par lune brillante et vent pur,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Qu’elles étaient belles, les femmes de Qin ! »
Sous le vent d’ouest on se couvre et les sterculiers se dépouillent.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Une pleine cour de parfums »
Je ne supporte pas que le vent vous malmène !
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’ « Une pleine cour de parfums »
On ne redoutait pas que le vent se déchaînât ni que la pluie se précipitât,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) -
Faiblesse du vent, averses éparses, terre blessée de tristesse
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Porteur d’encens »
Subit le vent.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Porteur d’encens »
S’infusent tour à tour un accès de vent,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Un papillon épris d’une fleur »
La douceur, le soleil, le temps clair et le vent ont initié la débâcle,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Le printemps aux Tombeaux-des-Braves »
Le vent est tombé, la poussière embaume, les fleurs sont déjà passées,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Le génie des bords du fleuve »
À ressentir la lune, à fredonner le vent, je me suis tant appliquée,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Joie éternelle de la rencontre »
Tout arrangé, qui le croirait, sans vent ni pluie !
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - « Sur un air lent »
Comment y résister, quand le soir vient, quand le vent s’énerve ?
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « L’orgueil d’un pêcheur »
Que ce vent n’aille pas s’apaiser !
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Rêve à l’aube
Le vent d’automne n’est qu’un vaurien,
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Liú Zĭ Huī (1101– 1147) - Sur le Fleuve
Trois jours de vent du nord, personne ne traverse,
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Mots-clés : fleuve vent brouillard
Yuè Fēi (1103 – 1142) - Sur l’air de « Tout un fleuve de rouge »
J’agrippe la rampe dans le vent, siffle, siffle, l’averse cesse.
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Lù Yóu (1125 – 1210) - Sur l’air d’« Un maître en divination »
Il subira encore le vent avec la pluie.
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Yáng Wàn Lĭ (1127– 1206) - En traversant en jonque Fonder-la-Bienveillance
Zhū Xī (1130–1200) - Dans l’estuaire vogue le navire
Plein fleuve de vent et de vagues : à la nuit qu’y faire ?
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Zhāng Xiào Xiáng (1132 – 1169) - « Ballade chantée des Six Provinces »
La violence d’un vent glacial,
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Zhāng Xiào Xiáng (1132 – 1169) - Sur l’air de « La lune sur le fleuve de l’ouest »
Le vent d’est pousse la jonque sur laquelle je traverse les lacs,
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air d’« En souvenir d’une charmante suivante »
Qu’a-t-il pris au vent d’est d’égarer l’errant dans ce rêve ?
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « Le printemps au palais des Han »
Quand rien ne retient le vent et la pluie,
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J’ai cessé de rire au vent d’est désormais,
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air d’« Une table basse de lazurite »
Le vent d’est dans la nuit a éparpillé les pétales sur mille arbres,
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « Taquiner le poisson »
Qu’encore puissent se dissiper quelques bourrasques de vent et pluie,
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « Complainte du Dragon des eaux »
Que vent et tonnerre n’excitent la férocité du dragon des eaux.
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « La lune sur le fleuve de l’ouest »
Sous le vent frais au milieu de la nuit une cigale qui stridule.
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « Les vagues lavent le sable »
Frappe la pluie, souffle le vent, où sont passés
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Balaie la terre le vent d’automne.
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air d’« En souvenir d’une charmante suivante »
Comme toujours le vent de printemps oppresse les rêves du voyageur,
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « Complainte du Dragon des eaux »
Quand le vent d’ouest tombera, le Cadet des Aigles s’en retournera-t-il ?
(...)
Hélas ! Ces années fuient au vent et à la pluie tristes et mélancoliques,
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Chén Liàng (1143 – 1194) - Sur l’air de « Complainte du dragon des eaux »
Sous le souffle du vent les nuages se dissipent.
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Jiāng Kuí (1152 – 1220) - Odelette des pruniers de jade (au premier ton)
Qui tournent le dos debout au haineux vent d’est,
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Jiāng Kuí (1152 – 1220) - Complainte du pavillon aux martins-pêcheurs
Sous le froid de la nuit et un soupir de vent.
(...)
Jiāng Kuí (1152—1220) - « Yangzhou lento »
Traversant « le vent de printemps sur une lieue »,
(...)
Liú Guò (1154–1206) - Sur l’air de « Le printemps au parc de la Rivière-Cœur »
Que s’abaisse son pinceau, voici tout autour vent et pluie tressaillir.
(...)
Yán Ruĭ (vers 1182) - Sur l’air de « Comme en songe »
Tout autre est du vent d’est le charme et l’agrément.
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Liú Kè Zhuāng (1187 – 1269) - Sur l’air d’« Un maître en divination »
La pluie les a lavées, le vent les a soufflées.
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Mots-clés : fleurs pluie vent
Wú Wén Yīng (1207 ? - 1269 ?) - Sur l’air de « Le vent s’engouffre dans les pins »
Sur l’air de « Le vent s’engouffre dans les pins »
(...)
À écouter le vent, à écouter la pluie se passe la Pure Lumière,
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Hăo Jīng (1223 – 1275) - Fleur tombée
Pêchers et pruniers sous le vent d’est dans un rêve de papillon,
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Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - En revenant depuis Domaine-de-Zhao vers Famille-Couronnée, deux poèmes.
Les herbes des champs, les vent les agite mi-blanches mi-vertes.
(...)
Les peupliers et les saules en l’absence de vent arrangent leurs filaments verts.
(...)
Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Le pavillon où s’attarde la lune
Dans le cannelier le vent qui passe susurre.
(...)
Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Sur l’air de « Taquiner le poisson »
En montagne, les pleurs des esprits errants se perdent dans le vent et la pluie. »
(...)
Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Sentiments d’automne
Les chrysanthèmes se sont au vent d’ouest ralliés,
(...)
Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - En rêvant d’y retourner
Des feuilles tombées que le vent se prend à balayer.
(...)
Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - De passage à l’ancienne cité de Soleil-de-Jin, pour écrire ce qu'il en advint.
Il n’y a plus que des vagues de blé qui ondulent sous le vent du printemps.
(...)
Sur le Fleuve Jaune et la Luo sont passés combien de crépuscules de vent et brouillard !
(...)
Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Sur l’air de « Premier chant mélodique sur l’eau »
Un grand vent furieux enroule de hautes vagues,
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Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - L’Adret Abrupt – Premier poème
Le vent au nord se déchaîne en tempête sombre d’armes de jets.
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Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - L’Adret Abrupt – Troisième poème
Dans les grincements du vent du nord percent les flûtes mongoles de la désolation,
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Liú Chén Wēng (1232 – 1297) - Sur l’air de « Joie perpétuelle de la rencontre »
La ville qu’emplissent vent et pluie comme du chagrin ?
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Zhōu Mì (1232 – 1298) - Sur l’air de « L’automne dans la capitale de jade »
et observais le vent d’ouest, la lune blanche,
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Transi jusqu’aux os sous le vent d’ouest,
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Wén Tiān Xiáng (1236 – 1283) - En traversant la Mer de la Désolation
Paysages, monts et rivières ravagés, gâchés, le vent projette le duvet des saules,
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Wén Tiān Xiáng (1236 – 1283) - Sur l’air de « Libation pour la lune sur le fleuve »
Le vent et la pluie m’angoissent et m’attristent à perdre le sommeil,
(...)
Juste d’une nouvelle rafale de vent frais.
(...)
Yáo Suì (1239 - 1314) - Note médiane – Sur l’air de « Chanson du printemps au soleil »
De la pointe du pinceau, j’ai fait au vent et à la lune toutes les saisons traverser,
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Elle ne connaît pas de jour sans vent ni vagues.
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Wáng Yí Sūn (1240 ? – 1289 ?) - Sur l’air de « Une musique à la hauteur du ciel »
Je m’attarde au souvenir du vent parfumé du printemps
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Chén Fú (1240 – 1303) - Gîte précaire à Strates-de-Jade
Le vent souffle, les herbes se couchent, sur la montagne la lune se réduit.
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Lú Zhì (vers 1241 - après 1315) - Sur l’air de « Profonde ivresse sous le vent d’est »
Sur l’air de « Profonde ivresse sous le vent d’est »
(...)
Dispersée par le vent d’ouest et couvrant le ciel, une langueur d’automne.
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Jiăng Jié (1245 ? – 1301 ?) - Sur l’air de « La Belle de Yu »
Le fleuve immense et les nuages bas espaçaient les oies sauvages qui vitupéraient le vent d’ouest.
(...)
Zhāng Yán (1248 — 1320) - Sur l’air de « La terrasse du Haut Soleil »
Sous le vent d’ouest pourtant de tenir compagnie aux roses j’étais résolu,
(...)
Bái Pŭ (1226 – après 1306) - Double ton – Sur l’air de « L’écoute du cheval arrêté »
Les perdrix enveloppées de vent voudraient voler de biais !
(...)
Mots-clés : musique instruments vent évocation
Bái Pŭ (1226 – après 1306) - Double ton – Sur l’air de « L’écoute du cheval arrêté »
Dans la nuit profonde, vent et pluie tombent depuis le chevillier.
(...)
Bái Pŭ (1226 – après 1306) - Double ton – Sur l’air de « L’écoute du cheval arrêté »
D’un seul chant le vent d’ouest brise tant de cœurs !
(...)
Bái Pŭ (1226 – après 1306) - Double ton – Sur l’air de « L’écoute du cheval arrêté »
Le Seigneur Liu se méprit sur le vent devant les saules.
(...)
Bái Pŭ (1226 – après 1306) - Sur l’air de « Profonde ivresse sous le vent d’est »
Sur l’air de « Profonde ivresse sous le vent d’est »
(...)
Liú Yīn (1249 – 1293) - Ballade des oies blanches
Le vent du Nord s’est levé une première fois : il a changé l’eau en glace,
(...)
Le vent du Nord s’est levé une deuxième fois : il a mis le fleuve à sec.
(...)
Le vent du Nord une troisième fois expire ; voici venir les oies blanches.
(...)
Quand le vent balaye la terre, que reste-t-il au ciel mutilé ?
(...)
Liú Yīn (1249 – 1293) - Le gîte montagnard
Griserie des manches ouvertes au vent sous une pluie de pétales…
(...)
Liú Yīn (1249 – 1293) - À la vue d’un prunier une pensée m’est venue
Tandis que le souffle du vent d’Est balaye au sol la poussière des batailles,
(...)
Xuē Áng Fū (1267 — 1359) - Double ton – Sur l’air de « Le ciel de Chu au loin » suivi de « La rivière pure s’étend »
On se retourne avec émotion sur mille lieues de vent,
(...)
Pire : comment supporter le soir tombé que le vent se déchaîne encore !
(...)
Wáng Hé Qīng (vers 1260) - Tube sonore magique – Sur l’air d’« Une journée plongée dans l’ivresse »
Les deux ailes portées par le vent d’est printanier.
(...)
Mă Zhì Yuăn (1250 – 1324) - Sur l’air de « Sable clair du jour »
Chemin ancien sous le vent d’ouest où passe une haridelle.
(...)
Zhào Mèng Fŭ (1254 – 1322) - Chronique d’un voyage ancien
À présent, esseulé, silencieux dans le vent d’est,
(...)
Zhào Mèng Fŭ (1254 – 1322) - Quatrain
C’est une cour de vent et pluie depuis le crépuscule.
(...)
Wáng Qīng Huì (~1265 – ~1294) - Sur l’air de « Tout un fleuve de rouge »
D’alors je me remémore au vent, à la pluie, à la rosée de printemps,
(...)
Vent et nuages sont disparus.
(...)
Zhāng Yăng Hào (1270 – 1329) - Note médiane – Sur l’air de « Chanson du ciel matinal »
Je n’ai plus besoin du souffle pour soulever vent et nuages.
(...)
Zhāng Kĕ Jiŭ (vers 1270 – vers 1348) - Sur l’air de « Des chaussures brodées de rouge »
Les grottes obscures furent creusées quand rugit l’Esprit du vent.
(...)
Zhāng Kĕ Jiŭ (vers 1270 – vers 1348) - Sur l’air de « Ballade sur le fleuve limpide »
Ma chaumière le vent d’automne la ruine.
(...)
Zhāng Kĕ Jiŭ (vers 1270 – vers 1348) - Sur l’air d’« Une odelette pour le lauréat »
Sans vent sans pluie, pas de chrysanthèmes encore,
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Zhāng Kĕ Jiŭ (vers 1270 – vers 1348) - Sur l’air d’« Une pleine cour de parfums »
Le vent bruisse dans les arbres,
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Liú Zhì (? – 1335 à 1338) - Sur l’air de « La chute d’une oie » suivi de « Chant de victoire »
Un vent doux enfièvre hirondelles et loriots,
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Lĭ Zhì Yuăn (? – ?) - Note médiane - Sur l’air de « Bienvenue au génie, notre hôte »
Le vent des fleurs de mélia.
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Rén Yù (? – ?) - Sur l’air de « Des souliers brodés de rouge »
La chaumière par le vent en automne soufflée a été démolie,
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Rén Yù (? – ?) - Double ton – Sur l’air de « Profonde ivresse sous le vent d’est »
Double ton – Sur l’air de « Profonde ivresse sous le vent d’est »
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Dèng Yù Bīn Zĭ (? – ?) - Double ton – Sur l’air de « La chute d’une oie » suivie de « Chant de victoire »
Sous le vent d’automne la route de Shu paraît éprouvante.
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Yú Jí (1272 – 1348) - Assis seul dans la cour
Quand relâche le bruit du vent se lève le bruit de la pluie.
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Jiē Xī Sī (1274 – 1344) - Conviction de nuit sur la lune de Soleil-du-Sud
Que m’importe le vent et cette fraîcheur moite,
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Jiē Xī Sī (1274 – 1344) - Une barque s’en retourne
Vent et pluie assistent l’heure d’un retour solitaire.
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Qiáo Jí (1280 ? -1345) - En Do majeur – Sur l’air d’« Ivres dans une ère de paix »
Assis sur un coussin de jonc, ils apostrophent le vent chantent la lune suivant la route de leur pauvre vie.
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Qiáo Jí (1280 ? -1345) - En Do majeur – Sur l’air de « Du vert un peu partout »
À critiquer le vent, à corriger la pluie, depuis quarante années.
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Guàn Yún Shí (1286 – 1324) - La Roche aux fleurs de pêchers
Six coudées livrées au vent et au brouillard, suspendues aux rives de la Huai ?
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Guàn Yún Shí (1286 – 1324) - Sur l’air de « Réjouissances devant le palais »
Quelques bourrasques de vent apportent l’écho des vendeuses de fleurs.
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Wáng Miăn (1287 – 1359) - Fleurs de pruniers
En mars le souffle du vent d’est a dispersé la neige,
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Yáng Wēi Zhēn (1296-1370) - Pensant l’un à l’autre
Blancheur de lune, fraîcheur du vent, pensée qui torture.
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Sà Dū Là (vers 1300 ? – vers 1355 ? mandarin en 1327) - La Dame de pierre
La neige pour poudre se fie au concours du vent,
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Sà Dū Là (vers 1300 ? – vers 1355 ? mandarin en 1327) - Mélodie des lotus
Ses manches d’émeraude au déclin du jour recevaient la fraîcheur du vent.
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Liú Jī (1311 – 1375) - L’ondée du dix-neuf mai
Le vent en ruades précipite la pluie qui ruisselle sur le rempart ;
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Liú Jī (1311 – 1375) - Ce qu’inspire le voyage (II)
Le vent est au bosquet, nulle branche n’y est tranquille.
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Troublé et furieux face au vent persistant,
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Liú Jī (1311 – 1375) - Inscrit sur le relais de poste de la Rivières-des-Sables
Le vent d’ouest souffle sur le voyageur à cheval qui s’éloigne,
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Mots-clés : rivière voyage vent
Yáng Jī (1326 – 1378) - La tour de l’Adret-du-Mont-Sacré
Le vent se déchaîne, la pluie répand l’obscurité.
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Mots-clés : paysage vent soir
Gāo Qĭ (1336 – 1374) - À la recherche du Seigneur de Hu Yin
Dans le vent du printemps sur ce fleuve cheminant
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Mots-clés : promenade fleurs vent
Gāo Qĭ (1336 – 1374) - Pruniers en fleurs
Sous le vent d’est, dans la tristesse et la solitude, combien de fleuraisons !
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Gāo Qĭ (1336 – 1374) - Sur l’air de « Complainte du dragon des eaux »
C’est là plutôt le pinceau du vent de printemps.
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Gāo Qĭ (1336 – 1374) - Au mont sud est un oiseau
Les deux côtés du naufrage dans l’épouvante du vent des vagues.
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Gāo Qĭ (1336 – 1374) - La neige tombe. (Deux poèmes)
Le vent printanier a disparu, c’est irrémédiable ;
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Gāo Qĭ (1336 – 1374) - Lors d’un banquet
Dans les manches de soie soudain ce vent saisissant !
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Yú Qiān (1398 – 1457) - Villages dévastés
Par les murs éventrés le vent vit dans les pièces,
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Yú Qiān (1398 – 1457) - Le vent du nord souffle
Le vent du nord souffle
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Le vent du nord souffle,
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L’arbre est solide et ne craint pas le vent qui le secoue,
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Le vent souffle sur les branches du cyprès, pour quoi faire ?
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Le vent du nord souffle,
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Yú Qiān (1398 – 1457) - En visite à la Capitale
Vent frais dans les manches on s’échappe pour l’audience impériale,
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Yú Qiān (1398 – 1457) - Face à la sécheresse, procession au temple de Jin pour implorer la pluie
Portée par le vent frais la clepsydre rythme les derniers instants de la nuit.
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Shĕn Zhōu (1427 – 1509) - La Belle aux fleurs cassées
Que le souffle du vent printanier vient entre ses mains rabattre.
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Lĭ Dōng Yáng (1447 – 1516) - Randonnée au temple du pied du Pic Sacré
Aux Quatre Monts, vent et pluie font un moine tout transi.
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Wén Zhēng Míng (1470 – 1559) - Le lac de pierre
Un vent frais tourbillonne autour d’une grenaille de spirodèles vertes,
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Biān Gòng (1476 – 1532) - Un don encore au visiteur du royaume de Wu
Mille lieues de vent d’automne – limbe de feuille, vie d’une époque.
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Hé Jĭng Míng (1483 – 1521) - Ode sur le fleuve d’automne
Sur la berge, le souffle du vent glace mon chapeau et m’arrache les cheveux ;
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Herbes odorantes, tristesse, le vent d’ouest se lève ;
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Lĭ Zhì (1527 – 1602) - Assis seul
Tiède, le vent caresse les fines brindilles,
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Yuán Hóng Dào (1568 – 1610) - Ballade chantée à la rame
Au gré du vent ici ou là fixe sa terre natale.
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Au mois d’avril pour le vent du fretin,
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Même sans vent des lames se soulèvent.
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Yuán Hóng Dào (1568 – 1610) - Fleurs de pêchers sous la pluie
Un vent mauvais projette la pluie aux cisailles glacées.
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Qián Qiān Yì (1582 – 1664) - En réponse à Sheng Joie-De-Collectionner - La chute des feuilles
Je ne sais si la rosée de jade par le vent frais est hâtée,
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Féng Bān (1602 – 1671) - Écrit pour un ami - Une barque où écouter la pluie
À présent, la plaine est balayée par le vent et les vagues.
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Wú Wĕi Yè (1609 – 1672) - Sur l’air de « Comme en songe »
Au caprice du vent la souplesse des filaments de saules.
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Wú Wĕi Yè (1609 – 1672) - Sur l’air de « La croissance d’un coing »
Quand, au mois de juin, le vent du nord se fait glacial,
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Huáng Zōng Xī (1610 – 1695) - En traversant la chaîne du Stupa
Le vent d’ouest siffle siffle en ondulant par la quiétude des sables,
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Shì Hán Kĕ (1612 - 1660) - Arrivée à Paix Perpétuelle
Mon cheval s’énerve avec les rafales de vent,
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Shì Hán Kĕ (1612 - 1660) - Composé par une nuit froide
La clarté du jour est tombée sous terre et le vent se lève glacial,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air d’« Un Maître très distingué »
Un vent frais a écarté les papillons.
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Joie éternelle de la rencontre »
Je hais le vent d’est,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Joie éternelle de la rencontre »
Nos vies sont duvet au vent,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air d’« Souvenir d’une beauté de Qin »
Quand le vent d’est faiblit,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Le génie des bords du Fleuve »
Un vent léger va amener la pluie,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air d’« Un papillon épris d’une fleur »
La pluie traverse les saules, le vent souffle sans cesse,
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On n’est pas surpris que le vent d’est se soit détaché si vite,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Des saules en plein vent »
Soumis au vent d’est,
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Tout un rideau de vent et de pluie.
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air d’« Une cour pleine de parfum »
Comment supporter tant de bourrasques de vent d’automne !
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Le vent secoue la demeure,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air d’« Ode au dragon des eaux »
À la fenêtre verrouillée tout à coup une ruade de vent d’est.
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Gù Yán Wŭ (1619 – 1682) - Composition pour saisir les branches de saules
Les larmes coulent au vent d’ouest où le soleil du soir descend.
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Zhū Yí Zūn (1629 – 1709) - Sur l’air de « Le génie des bord du fleuve »
Sur les enseignes des tavernes, le vent déploie ses forces,
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Zhū Yí Zūn (1629 – 1709) - Sur l’air d’« En souvenir de nos jeunes années »
Vent de printemps dans les cours intérieures.
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Zhū Yí Zūn (1629 – 1709) - Sur l’air d’« Une feuille tombe »
Au faîte de la tour le vent souffle la pluie.
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Le vent souffle la pluie,
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Zhū Yí Zūn (1629 – 1709) - Sur l’air d’« Une plainte depuis la galerie » (lento)
De traverser la saison où souffle le vent du nord ?
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Qū Dà Jūn (1630 – 1696) - Devant les fleurs
Le vent défait d’un souffle sa robe où cent plis s’ouvrent.
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Chén Chén (1615 - 1670) - À la Bastide-aux-Bignones, retour en barque en pleine neige
Dans le vent et la neige une barque, toute seule, s’est immobilisée.
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Chá Shèn Xíng (1650 – 1727) - Par une nuit glaciale, une halte au mont Pan Min – Sur la rime initiale
Partout ce bruissement que le vent d’ouest fait dans les arbrisseaux,
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Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - Sur l’air d’ « Une touche de rouge aux lèvres »
Le vent d’ouest, jusqu’où ira-t-il ?
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Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - « Sur un air limpide et tranquille »
Je suis le vent d’ouest où descendent les oies.
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Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - Sur l’air de « Les divinités des rivières et des fleuves »
Le souffle du vent du nord traverse la couverture de taffetas verte,
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Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - Sur l’air d’« Un boddhisatva d’ailleurs »
Le vent d’ouest fait gémir les sauterelles
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Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - Sur l’air de « Pour évoquer les fleurs de pêchers » (lento)
Par les fenêtres de papier déchirées par le vent,
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Jīn Nóng (1687 – 1764) - Les saules
Mots-clés : départ vent printemps
Lì È (1692 – 1752) - Nuit lunaire au Temple du Prodigieux Mystère
Surtout quand résonne sous les falaises le vent.
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Lì È (1692 – 1752) - Sur l’air d’« Une musique à la hauteur du ciel »
Mots-clés : automne vent pluie
Lì È (1692 – 1752) - Sur l’air d’« En audience aux portes d’or »
Le vent d’automne nulle part ne faiblit.
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Lì È (1692 – 1752) - Sur l’air d’« Une musique à la hauteur du ciel »
Neige étale sur le fleuve, ciel serein et peu de vent.
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Lì È (1692 – 1752) - Froid printanier
Au Sud du Fleuve c’est en février que souffle le plus le vent.
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Zhèng Xiè (1693 –1765) - Sur l’air d’« En souvenir d’une charmante suivante »
« Par vent favorable, on ne jette pas l’ancre »,
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Dans les roseaux en fleurs le vent se lève en susurrant.
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Zhèng Xiè (1693 –1765) - « En souvenir d’une charmante suivante »
Par le vent d’ouest à chaque rafale
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Comme se mêleraient vent et brouillard en langueur,
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Yuán Méi (1716 – 1798) - Quand j’ai poussé la fenêtre
Cette nuit, le vent et la pluie se sont succédés, féroces,
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Yuán Méi (1716 – 1798) - Sur l’air de « Tout un fleuve de rouge »
Devant ses joues, la poudre parfumée suivait la caresse du vent.
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Yuán Méi (1716 – 1798) - Aux Canaux des Sables
L’astre du jour aux forces défaillantes ne vient pas à bout du vent.
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Yuán Méi (1716 – 1798) - Derniers mots
Avec mes claquettes face au vent j’ai chanté les derniers jours d’automne.
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Cáo Xuĕ Qín (1716 ? – 1763 ?) - Complaintes des fèves rouges
Se coucher sans se calmer : c’est, à la fenêtre de gaze, vent et pluie après le crépuscule ;
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Jiăng Shì Quán (1725 – 1785) - Écrit sur une peinture
Le vent comme coursier, les nuages comme véhicule, conviennent bien pour aller et venir.
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Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Dans la trame enchevêtrée du souvenir
Pour qui au vent, à la rosée, suis-je debout au milieu de la nuit ?
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Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Jour de printemps, regard depuis le pavillon
Soudain le vent, soudain la pluie, le printemps attriste le voyageur,
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Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Soir d’automne
Pour qui au vent, à la rosée, suis-je là debout si longtemps ?
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Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - La vingtième nuit
Dans les rideaux de papier le vent s’en est venu bruisser,
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Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Pour étreindre un reflet – L’enceinte intérieure de la capitale
Siffle siffle la triste rêverie du vent partout dans Longue Paix.
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Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Sur l’air de « La plainte de la Dame Éclatante »
Tandis qu’avec l’aurore, le vent faiblit et tombe.
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Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Sur l’air d’« Une affreuse servante » - Lento
Sur toute l’étendue des prés, le vent balaye les herbes,
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Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Sur l’air d’« Un cheval dans le vent »
Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Perspective du soir
Dans les tourbillons de vent, effrayées, les corneilles soudain rentrent dans les nuages.
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