Zhāng Mì (930 – ?) - Billet
Une fois parti, en rêve les pensées s’attachent encore au toit qu’on a quitté,
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Mots-clés : nostalgie absence rêve
Anthologie bilingue de la poésie chinoise tardive : Vent du Soir
Poèmes chinois
Anthologie bilingue de la poésie chinoise tardive : Vent du Soir
Poèmes chinois
Zhāng Mì (930 – ?) - Billet
Une fois parti, en rêve les pensées s’attachent encore au toit qu’on a quitté,
(...)
Mots-clés : nostalgie absence rêve
Yàn Shū (991 – 1055) - Sur l’air d’« En enfonçant les lignes ennemies »
Elle s’étonnait la nuit dernière d’un rêve de printemps étrange et beau,
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Méi Yáo Chén (1002 – 1060) - Au retour du Dragon-Vert, mon rapport à Xié Shizhi
En rêve je pensais atteindre avant tout l’île aux marsillées…
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Yàn Jǐ Dào (1030 – 1106) - Sur l’air d’« Un papillon épris d’une fleur »
En rêve, je m’enfonçais au sud du Fleuve dans une allée d’eau vaporeuse,
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Mots-clés : séparation rêve tristesse
Yàn Jǐ Dào (1030 – 1106) - Sur l’air de « La croissance d’un coing »
À travers défilés et montagnes dans mon âme un rêve prolongé…
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Mots-clés : rêve séparation temps
Yàn Jĭ Dào (1030 – 1106) - Sur l’air de « La saison des perdrix »
Craignant qu’encore nous ne nous rencontrions qu’au milieu d’un rêve.
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Joie éternelle de la rencontre »
Le voile de pénombre du rêve se déchire en sursaut.
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Autrefois et aujourd’hui semblent un rêve,
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De quel rêve me suis-je réveillé ?
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Souvenir d’une gracieuse enfant »
Qui traverse le monde comme en rêve,
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « L’enfant de la cité du fleuve »
La nuit venue, dans le secret d’un rêve, soudain me voici de retour au vieux pays.
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Félicitations au nouveau marié »
Vainement je suis tirée d’un rêve, rompu au détour d’une terrasse de jade,
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Qín Guān (1049 – 1100) - Les Célestes du pont des pies
Un tête à tête comme en rêve,
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Qín Guān (1049 – 1100) - Sur l’air de « La saison des perdrix »
Sur cent lieux de passes et de monts mon âme est travaillée d’un rêve.
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Qín Guān (1049 – 1100) - Sur l’air de « Quarante-huit enfants »
La nuit sous la lune un rêve dans le retrait des persiennes,
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Zhào Lìng Zhì (1051 – 1134) - Sur l’air de « L’oiseau chante la nuit »
Les lourdes portes n’ont pas emprisonné le rêve de l’amour partagé,
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Zhōu Bāng Yàn (1056 – 1121) - Sur l’air de « Le prince de la colline aux orchidées »
Comme si c’était un rêve où mes larmes en secret couleraient.
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Zhōu Bāng Yàn (1056 – 1121) - Sur l’air de « Les lotus loin des rives »
Je m’introduis dans le paravent pour rejoindre en rêve les montagnes de Wu.
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Shí Yàn ( vers 1065 – 1107) - Sur l’air de « Boire aux portes d’azur »
Dans l’ivresse l’onde d’automne, en rêve la pluie du matin,
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Máo Páng (1067 – 1120) - Sur l’air de « Le génie des bords du fleuve »
L’alcool et le printemps l’amènent en rêve
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Yè Mèng Dé (1077 – 1148) - Sur l’air de « Félicitations au nouveau marié »
Au Sud du Fleuve mon rêve cesse au travers des îlots du fleuve,
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Lĭ Gāng (1083 – 1140) - Sur l’air de « Six odes infimes »
Des Six Époques splendeur et ruine semblent rêve.
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Chén Yŭ Yì (1090 – 1138) - Sur l’air de « Le génie des bords du fleuve »
Plus de vingt années passées comme en rêve,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Le génie des bords du fleuve »
La nuit venue je fis un rêve limpide,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Laver le sable du torrent »
Mon rêve revient entre les mamelons de l’oreiller où s’enfouit la fleur d’or à mes tempes.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Petite chaîne de montagnes »
Je m’étais attardée dans un rêve d’aurore,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Un papillon épris d’une fleur »
En vain je rêve de Fondation-Pérenne.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Souvenir d’une charmante suivante »
La couverture s’est refroidie, le parfum dissipé, je m’éveille d’un nouveau rêve,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Laver le sable du torrent »
Le camphre embaume, de mon âme chavirée le rêve s’interrompt,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Publier le fond d’un cœur »
Mon rêve rompu sans que j’y puisse revenir.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « L’orgueil d’un pêcheur »
Mots-clés : li-qingzhao rêve destin
Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Rêve à l’aube
Rêve à l’aube
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Rêve à l’aube au gré de cloches lointaines,
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Mots-clés : rêve fantastique
Yuè Fēi (1103 – 1142) - Sur l’air de « Petite chaîne de montagnes »
En sursaut je reviens de cent lieues de rêve,
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Lù Yóu (1125 – 1210) - Le jardin Shen (Deux poèmes)
Rêve brisé, parfum dissipé depuis quarante années,
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Lù Yóu (1125 – 1210) - Sur l’air de « Publier le fond d’un cœur »
Défilés et rivières dans le bris d’un rêve sont passés.
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air d’« En souvenir d’une charmante suivante »
Qu’a-t-il pris au vent d’est d’égarer l’errant dans ce rêve ?
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - « Sur un air limpide et tranquille »
Enveloppé du voile des ténèbres d’automne, je sors d’un rêve :
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « Les vagues lavent le sable »
En rêve je retrouvais le tumulte de ma jeunesse
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air d’« En enfonçant les lignes ennemies »
Mots-clés : rêve gloire reconquête
Zhāng Zī (1153 – 1211) - Sur l’air de « Le pavillon du Mont des Hirondelles »
Comme depuis la pénombre du rêve je m’en retourne,
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Liú Kè Zhuāng (1187 – 1269) - Sur l’air de « Le printemps au parc de la Rivière-Cœur »
Fidèle transcription d’un rêve
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Mots-clés : rêve héroïsme illusion
Yáng Guŏ (1195 － 1269) - Sur la tonalité de Yué – Sur l’air de « Le rouge d’un petit pêcher »
Sans se soucier des canards mandarins de leur rêve arrachés en sursaut,
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Wú Wén Yīng (1207 ? - 1269 ?) - Sur l’air de « Le vent s’engouffre dans les pins »
Surviennent ensemble rêve de l’aube et loriots chanteurs.
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Hăo Jīng (1223 – 1275) - Fleur tombée
Pêchers et pruniers sous le vent d’est dans un rêve de papillon,
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Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Neige dans la nuit
En rêve parvient le bruit de l’enfant chéri qui réclame le sein.
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Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Lors d’une nuit passée au Monastère du Nord de l’Empyrée Divin,
rédigé en plein rêve.
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rédigé en plein rêve.
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Dans la Jolie Rivière le passé se brouille comme en rêve,
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Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - En rêvant d’y retourner
Dans la durée de la nuit ce rêve déjà touche à sa fin,
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Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Quinze variations (…) (15)
Jiăng Jié (1245 ? – 1301 ?) - Sur l’air d’« Une coiffe de dame »
Alors qu’en rêve vaguement entrevois
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Zhāng Yán (1248 —1320) - Sur l’air de « Flûte traversière sous la lune »
À la fenêtre glacée quand je rêve,
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Wáng Hé Qīng (vers 1260) - Tube sonore magique – Sur l’air d’« Une journée plongée dans l’ivresse »
Stridulant il pulvérise le rêve de Zhuang Zi,
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Rén Yù (? – ?) - Sur l’air de « Des souliers brodés de rouge »
Porté par le rêve d’adopter le manteau de pluie du pêcheur,
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Dèng Yù Bīn Zĭ (? – ?) - Double ton – Sur l’air de « La chute d’une oie » suivie de « Chant de victoire »
Cette vie flottante le théâtre d’un rêve,
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Gāo Qĭ (1336 – 1374) - Un jour de printemps, souvenir sur le fleuve
À présent revenu d’un rêve je ne suis plus papillon,
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Qián Qiān Yì (1582 – 1664) - Au Monastère de Toute-Fragrance, offert au doyen Retiré-En-Lui-Même
Qui cherche la Voie ne rêve pas d’aller cueillir des fleurs,
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Jīn Shì Dàn Guī (1614 – 1680) - Sur l’air de « Petite chaîne de montagnes »
Dix années ce tableau de collines et d’eaux en rêve.
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Joie éternelle de la rencontre »
Dans un rêve écourté des nuages flottants,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air d’« En vain tant de décrets »
Dans mon rêve la rumeur du fleuve s’accorde aux sanglots que j’étouffe,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Comme en rêve »
Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Le génie des bords du Fleuve »
En rêve mon âme déjà a rejoint le pays des eaux et des nuages.
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Des saules en plein vent »
Comment pourrais-je au retour d’un rêve me trouver désarmée ?
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Qū Dà Jūn (1630 – 1696) - Rencontre aux frontières avec Li Bisaïeul-Martial
Au sud du Fleuve le rêve de retourner, dans le cercle de l’éternité du Ciel.
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Chá Shèn Xíng (1650 – 1727) - Par une nuit glaciale, une halte au mont Pan Min – Sur la rime initiale
En un rêve où je rentre chez moi, je contourne lacs et fleuve immenses,
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Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - Sur l’air de « Comme en songe »
Revenu du rêve, loin du Fleuve des Loups,
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Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - « Sur un air limpide et tranquille »
Comme en rêve les dynasties passées – où donc les retrouver ?
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Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - Sur l’air de « Les chroniques du fleuve »
Un parfum s’évapore au retour d’un rêve
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Lì È (1692 – 1752) - Froid printanier
On se tient près des doubles stores au cœur d’un rêve léger.
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Mots-clés : printemps rêve
Cáo Xuĕ Qín (1716 ? – 1763 ?) - Complaintes des fèves rouges
(Extrait de « Rêve au Pavillon Rouge » chapitre XXVIII)
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Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - La vingtième nuit
D’un rêve bref naît un nuage d’ouate doué de passion,
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Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Sur l’air d’« Un cheval dans le vent »
D’un rêve aussi qu’on se lève, lève.
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Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Au jardin des noix, levé dans la nuit
De retour d’un rêve, au petit relais une seule lampe rougit,
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