Mèng Hào Rán (689 – 740) - Aube de printemps
Toute la nuit ce bruit de vent et de pluie…
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Anthologie bilingue de la poésie chinoise tardive : Vent du Soir
Poèmes chinois
Mèng Hào Rán (689 – 740) - Aube de printemps
Toute la nuit ce bruit de vent et de pluie…
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Lĭ Yù (937 - 978) - Sur l’air d’« Un boddhisatva d’ailleurs »
C’est là une belle nuit pour vous rejoindre, mon Seigneur,
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Mots-clés : amants rendez-vous nuit
Lĭ Yù (937 - 978) - Sur l’air de « La Belle de Yu »
Lorsque sur la petite pagode la nuit dernière vint le vent d’est,
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Lín Bū (967-1028) - Une nuit au Palais des Grottes Célestes
Une nuit au Palais des Grottes Célestes
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Cette nuit le bananier quand il pleuvra,
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Mots-clés : nuit automne rêverie
Liŭ Yŏng (987 ? – 1053 ?) - Sur l’air de « Tintements d’une pluie sans fin »
Liŭ Yŏng (987 ? – 1053 ?) - Sur l’air de « Les flots baignent le sable » (lento)
Dans la campagne fluviale nuit après nuit,
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Fàn Zhòng Yān (989 – 1052) - Sur l’air d’« En marche sur la Voie Impériale »
Dans cette nuit silencieuse et sereine,
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Année après année jusqu’à cette nuit,
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Mots-clés : nuit solitude tristesse
Fàn Zhòng Yān (989 – 1052) - Sur l’air de « L’éveil derrière le rideau »
Nuit après nuit, quand seuls
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Zhāng Xiān (990 – 1078) - Sur l’air d’« Un âge de mille automnes »
Voici que la nuit est passée,
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Yàn Shū (991 – 1055) - « Sur un air limpide et tranquille »
Sous son voile argenté, la nuit dernière fut un peu froide.
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Yàn Shū (991 – 1055) - Sur l’air d’« En enfonçant les lignes ennemies »
Elle s’étonnait la nuit dernière d’un rêve de printemps étrange et beau,
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Méi Yáo Chén (1002 – 1060) - Sans titre (Des souris bruyantes)
Hébergé pour la nuit en compagnie de Xié Shihou dans la bibliothèque de la famille Xu, j’entendis des souris qui me tracassèrent.
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Mots-clés : nuit souris vacarme
Méi Yáo Chén (1002 – 1060) - Au retour du Dragon-Vert, mon rapport à Xié Shizhi
La nuit dernière, lorsqu’avec vous j’ai plaisanté et bu,
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Oū Yáng Xiū (1007 – 1072) - Sur l’air d’« Une fleur de magnolia »
Dans la profondeur de la nuit, vent et bambous scandent l’automne,
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Oū Yáng Xiū (1007 – 1072) - Sur le Torrent Jaune accostant pour la nuit
Sur le Torrent Jaune accostant pour la nuit
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Wén Tóng (1018 – 1079) - Après la pluie éclaircie de lune sur les collines
Mots-clés : promenade nuit pluie
Yàn Jĭ Dào (1030 – 1106) - Sur l’air de « La saison des perdrix »
Cette nuit je m’assure que la lampe d’argent brille bien,
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Premier chant mélodique sur l’eau »
En cette nuit combien d’années compter ?
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Joie éternelle de la rencontre »
Dans la nuit vaste et vague je cherche çà et là, je m’égare,
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Un maître en divination »
Mots-clés : exil solitude nuit su-dongpo
Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « L’enfant de la cité du fleuve »
dans la nuit je consigne un songe.
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La nuit venue, dans le secret d’un rêve, soudain me voici de retour au vieux pays.
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La pleine lune veille sur la nuit, les pins trapus sur la colline.
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Le génie des bords du fleuve »
Retour de nuit à Bord-des-Marais
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Une nuit de beuverie, le Lettré du coteau oriental, retombé dans l’ivresse,
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S’en revint au bercail, on eût dit à nuit noire.
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Dans la nuit tardive, le vent s’apaise, les plis du crêpe s’aplanissent.
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Mots-clés : nuit méditation fleuve su-dongpo
Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Chanson de la fée des grottes »
le roi de Shu avec son épouse Bouton-de-Fleur, la nuit venue en prenant le frais au dessus du Bassin Sublime,
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On est déjà au milieu de la nuit.
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Mots-clés : nuit ciel été
Cháo Yuán Lǐ (1046 – 1113) - Sur l’air d’« Un canard à tête verte »
J’anticipais qu’avec la nuit, cette pure clarté ne faiblirait pas,
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Qín Guān (1049 – 1100) - Sur l’air d’« Observer les marées »
Dans le parc de l’ouest la nuit on boit, on fait siffler les flûtes,
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Qín Guān (1049 – 1100) - Sur l’air de « Quarante-huit enfants »
La nuit sous la lune un rêve dans le retrait des persiennes,
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Zhào Lìng Zhì (1051 – 1134) - Sur l’air de « L’oiseau chante la nuit »
Sur l’air de « L’oiseau chante la nuit »
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Hè Zhù (1052 - 1125) - Sur l’air d’« Une pensée pour celle de là-bas »
Qui reviendra la nuit à la chandelle repriser mes chemises ?
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Zhōu Bāng Yàn (1056 – 1121) - Sur l’air de « Les jeux du jeune âge »
À voix basse elle s’enquiert : « Chez qui irez-vous passer la nuit ?
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Zhōu Bāng Yàn (1056 – 1121) - Sur l’air d’« Au froid d’une fenêtre verrouillée »
Au plus profond de la nuit je veille encore,
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Máo Páng (1067 – 1120) - Sur l’air de « Le génie des bords du fleuve »
J’entends dire qu’à Fondation-Pérenne la nuit se coiffe de lanternes,
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Chén Yŭ Yì (1090 – 1138) - Sur l’air de « Le génie des bords du fleuve »
Une nuit, ayant gravi le petit pavillon,
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Zhāng Yuán Gàn (1091 – vers 1170) - Sur l’air de « Le prince de la colline aux orchidées »
Sous les lampes quand la nuit commençait, tôt on prenait rendez-vous.
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Liú Yī Zhĭ (1094 – 1160) - Sur l’air de « Dans la joie le loriot a déplacé son nid »
J’écoute : l’oiseau qui niche pour la nuit n’a pas tressailli encore,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Comme en songe »
La nuit dernière sous pluie éparse et vent violent
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Les flots rincent le sable »
Contrariée elle contemple, balcon divin de jade blanc, la lune d’une nuit claire,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Cueillir des mûres »
« Cette nuit sous les voiles du baldaquin, entre natte et oreiller, il fera frais ».
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Le génie des bords du fleuve »
La nuit venue je fis un rêve limpide,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Un ciel de perdrix »
Les sterculiers doivent haïr le givre de la nuit qui tombe.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Petite chaîne de montagnes »
Comme j’aime quand la nuit tombe !
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Haïr le rejeton d’un prince »
Le vent avec la nuit venu.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Un papillon épris d’une fleur »
Perpétuité d’une nuit dolente d’ennui où de se réjouir on a peu de désir,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Les flots rincent le sable »
Derrière les persiennes, la brise des dernières heures de la nuit
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « De nombreuses beautés »
La nuit s’allonge l’écran des persiennes abaissées qui pendent.
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La nuit venue qui massent à l’éroder le marbre veiné des muscles.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Publier le fond d’un cœur »
La nuit venue, abîmée dans l’ivresse, j’avais négligé de défaire ma coiffure
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Un chant du Sud »
Levée, dénouant ma chemise de soie, je reste à me demander : qu’est-ce que cette nuit ?
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Mots-clés : li-qingzhao nuit nostalgie
Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Une pleine cour de parfums »
Lorsque par une belle nuit sous la lune pâle,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Porteur d’encens »
Comment supporter la nuit qui s’éternise,
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Mots-clés : li-qingzhao automne nuit
Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Un papillon épris d’une fleur »
Jusque tard dans la nuit je reste à tripoter aux ciseaux la flamme d’une chandelle.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Comme en songe »
Mots-clés : li-qingzhao nuit solitude
Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Cueillir des mûres » (version longue)
Mots-clés : li-qingzhao nuit pluie
Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Joie éternelle de la rencontre »
Nuit des lanternes, c’est la fête,
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Je crains d’être vue si je sors dans la nuit,
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Yuè Fēi (1103 – 1142) - Sur l’air de « Petite chaîne de montagnes »
La nuit dernière, les grillons d’automne n’avaient cessé de grésiller.
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Lù Yóu (1125 – 1210) - Voyage dans les collines au Village-de-l’Ouest
Appuyé sur ma canne, à tout moment la nuit, j’irai toquer aux portes.
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Yáng Wàn Lĭ (1127– 1206) - Collines d’automne
Le petit érable toute la nuit déroba la liqueur du ciel,
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Zhū Xī (1130–1200) - Dans l’estuaire vogue le navire
La nuit dernière sur le petit navire : un ciré pour la pluie,
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Plein fleuve de vent et de vagues : à la nuit qu’y faire ?
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Zhāng Xiào Xiáng (1132 – 1169) - « Ballade chantée des Six Provinces »
Voyez les rois tartares la nuit chasser ;
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « Le printemps au palais des Han »
Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air d’« Une table basse de lazurite »
La quinzième nuit de la première lune
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Le vent d’est dans la nuit a éparpillé les pétales sur mille arbres,
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Toute la nuit poissons et dragons dansent.
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Mots-clés : nuit fête rencontre
Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - « Sur un air limpide et tranquille »
Nuit solitaire sur le Mont Bo dans la cassine de Maître Wang
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Mots-clés : nuit méditation souvenirs
Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « Complainte du Dragon des eaux »
Au profond de la nuit bien souvent l’on voit
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « La lune sur le fleuve de l’ouest »
De nuit en chemin sur la route des Sables Jaunes.
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Sous le vent frais au milieu de la nuit une cigale qui stridule.
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « La lune sur le fleuve de l’ouest »
La nuit dernière en lisière des pins l’ivresse m’avait renversé,
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « Les vagues lavent le sable »
Au temple de la montagne en pleine nuit j’entends une cloche.
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Un vieux moine en pleine nuit par méprise sonna la cloche,
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Jiāng Kuí (1152 – 1220) - Sur l’air de « La saison des perdrix »
Qui élucidera à travers nos âges la nuit aux nénuphars rouges ?
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Jiāng Kuí (1152 – 1220) - Complainte du pavillon aux martins-pêcheurs
Sous le froid de la nuit et un soupir de vent.
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Jiāng Kuí (1152—1220) - Sur l’air d’« En souvenir d’un petit-fils de roi »
Je savais que le faisant mâle fredonnerait nuit après nuit sa tristesse.
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Jiāng Kuí (1152—1220) - « Yangzhou lento »
En l’ère de Pure Gloire, l’année du troisième tronc et du neuvième rameau, au solstice d’hiver, je traversais Wei-Yang (Yangzhou). La neige de la nuit précédente commençait à fondre, bourses à pasteur et graminées à perte de vue. En rentrant dans la citadelle, je ne trouvais de tous côtés qu’abandon et délabrement. L’eau glaciale se faisait de jaspe, les couleurs du couchant montaient peu à peu. La corne des sentinelles tristement gémissait, mon cœur s’emplissait de tristesse et je me lamentais du présent et du passé perdu. C’est pourquoi j’ai créé cette ode. Le Vieil Homme des Mille Pics estimait qu’il s’y trouvait la tristesse du « Millet à tête pensante » du Classique de la Poésie.
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Yáng Guŏ (1195 - 1269) - Sur la tonalité de Yué – Sur l’air de « Le rouge d’un petit pêcher »
Wú Wén Yīng (1207 ? - 1269 ?) - Sur l’air de « Le vent s’engouffre dans les pins »
Sur l’escalier déserté toute la nuit la mousse va s’étendre.
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Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Neige dans la nuit
Neige dans la nuit
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Mots-clés : nuit hiver
Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Lors d’une nuit passée au Monastère du Nord de l’Empyrée Divin,
Lors d’une nuit passée au Monastère du Nord de l’Empyrée Divin,
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Mots-clés : nuit tristesse
Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Sentiments d’automne
À rêver avec les pies en hiver, la nuit se charge d’épouvante.
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Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - En rêvant d’y retourner
Dans la durée de la nuit ce rêve déjà touche à sa fin,
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Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Sur l’air de « Premier chant mélodique sur l’eau »
Depuis la nuit des temps on sait dévoiler la ferveur et la perfidie.
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Liú Chén Wēng (1232 – 1297) - Sur l’air de « Joie perpétuelle de la rencontre »
Qui saura dire la nuit sacrée aux feux interrompus,
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Pour la province de Fu aujourd’hui c’est la nuit,
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Mots-clés : nuit désastre désarroi
Zhōu Mì (1232 – 1298) - Sur l’air de « L’automne dans la capitale de jade »
Mots-clés : froid nuit tristesse
Wáng Yí Sūn (1240 ? – 1289 ?) - Sur l’air de « Des sourcils à ravir »
Dans les monts anciens quand la nuit se prolonge,
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Chén Fú (1240 – 1303) - Gîte précaire à Strates-de-Jade
Les chameaux mugissent la nuit dans un perpétuel nuage jaune.
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Mots-clés : montagne désert nuit
Lú Zhì (vers 1241 - après 1315) - Sur l’air de « Profonde ivresse sous le vent d’est »
Dans le calme de la nuit sous la voile des nuages la clarté de la lune descend,
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Jiăng Jié (1245 ? – 1301 ?) - Sur l’air d’« Une coiffe de dame »
La 15ème nuit de la première lune
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Zhāng Yán (1248 —1320) - Sur l’air de « Flûte traversière sous la lune »
En premier lieu, ainsi, je souffrirai d’entendre la pluie de la nuit.
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Zhāng Yán (1248 — 1320) - Sur l’air de « Délivrer des chaînes »
Vaine devant les Grandes Portes à la dérobée dans la nuit
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Bái Pŭ (1226 – après 1306) - Double ton – Sur l’air de « L’écoute du cheval arrêté »
Dans la nuit profonde, vent et pluie tombent depuis le chevillier.
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Bái Pŭ (1226 – après 1306) - Double ton – Sur l’air de « L’écoute du cheval arrêté »
« Matin de fleurs et nuit de lune »,
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Sur le petit pavillon, la nuit durant, un nuage va et vient.
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Liú Yīn (1249 – 1293) - Soir lunaire dans la montagne
Tel, face à la montagne vide, dans la nuit, vraiment loin.
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Zhào Mèng Fŭ (1254 – 1322) - Quatrain
Qui, au profond de la nuit, joue de cette flûte de jade ?
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Mots-clés : nuit musique solitude
Zhào Mèng Fŭ (1254 – 1322) - Quatrain
Mots-clés : nuit printemps tristesse
Wáng Qīng Huì (~1265 – ~1294) - Sur l’air de « Tout un fleuve de rouge »
Par relais et auberges la nuit, je tressaille de cauchemars de terre et de poussière,
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Zhāng Kĕ Jiŭ (vers 1270 – vers 1348) - Sur l’air de « Ballade sur le fleuve limpide »
Silence et solitude dans la nuit au paravent d’argent.
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Zhāng Kĕ Jiŭ (vers 1270 – vers 1348) - Sur l’air d’« Une pleine cour de parfums »
Assis dans la nuit à braver le mal du pays,
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Rén Yù (? – ?) - Sur l’air de « Des souliers brodés de rouge »
Le bosquet de canneliers par la lune dans la nuit en vain a été traversé,
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Jiē Xī Sī (1274 – 1344) - Conviction de nuit sur la lune de Soleil-du-Sud
Conviction de nuit sur la lune de Soleil-du-Sud
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La nuit s’éternise, la lune va s’éclipser.
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Jiē Xī Sī (1274 – 1344) - Froide nuit
Froide nuit
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Mots-clés : nuit veille silence
Guàn Yún Shí (1286 – 1324) - Sur l’air de « Réjouissances devant le palais »
La nuit venue, par une pluie fine les marches du palais ont été rincées,
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Yáng Wēi Zhēn (1296-1370) - Chanson à la cascade du Mont Lu
Ingurgitant l’alcool pour étancher la soif intense de la nuit,
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Sà Dū Là (vers 1300 ? – vers 1355 ? mandarin en 1327) - Sur l’air de « Tout un fleuve de rouge »
S’entend la nuit au profond silence de solitude qui touche la cité délaissée,
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Liú Jī (1311 – 1375) - Ce qu’inspire le voyage (I)
Les insectes grésillent au plus profond d’une nuit limpide.
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Mots-clés : nuit paysage séparation
Yuán Kăi (1316 – … ?) - Assis en une nuit d’exil
Assis en une nuit d’exil
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Mots-clés : nuit exil fleuve
Gāo Qĭ (1336 – 1374) - Nuit fraîche
Nuit fraîche
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La lune baigne la Cité-du-Fleuve et la nuit se fait profonde.
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Mots-clés : nuit tranquillité
Gāo Qĭ (1336 – 1374) - J’entends les oies sauvages
Au froid du fleuve par une nuit sans lune,
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Gāo Qĭ (1336 – 1374) - Deux nénuphars au froid des vagues de jade
Toute la nuit dans la fraîcheur des vagues un petit dragon pleure.
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Gāo Qĭ (1336 – 1374) - La neige tombe. (Deux poèmes)
La nuit on s’entasse dans les yourtes encombrées,
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Gāo Qĭ (1336 – 1374) - Assis la nuit en compagnie de Wang le Rédacteur
Assis la nuit en compagnie de Wang le Rédacteur
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On s’écarte pour cette nuit d’un verre.
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Mots-clés : nuit rêverie
Yú Qiān (1398 – 1457) - Face à la sécheresse, procession au temple de Jin pour implorer la pluie
Portée par le vent frais la clepsydre rythme les derniers instants de la nuit.
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Mots-clés : sécheresse nuit prière
Táng Yín (1470 – 1523) - Chanson d’une année
Ils disaient : tenez ferme votre bougie pour voyager de nuit.
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La nuit de printemps, là gravée dans mon cœur, est plus précieuse que mille onces d’or ;
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Wén Zhēng Míng (1470 – 1559) - Le lac de pierre
Un cœur blessé ne fredonnera pas dans la nuit le chant du « Corbeau au nid ».
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Xiè Zhēn (1495 – 1575) - Pensée pour mon frère cadet un jour d’automne
En cette nuit pluvieuse, à la faible lueur d’une lampe, parviens-tu à rêver ?
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Tāng Xiăn Zŭ (1550 – 1616) - Nuitée sur le fleuve
Mots-clés : nuit calme fleuve
Yuán Zhōng Dào (1570 – 1623) - De nuit, la source
De nuit, la source
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Mots-clés : source nuit froid
Chén Zĭ Lóng (1608 – 1647) - Cette nuit d’octobre
Cette nuit d’octobre
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Jīn Shèng Tàn (1608 –1661) - Une nuit passée au temple champêtre
Une nuit passée au temple champêtre
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Par les fenêtres mi-closes passe la pluie de la nuit,
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Mots-clés : nuit monastère
Zhāng Gài (XVIIème siècle) - En songeant au passé
Qui, nuit après nuit, traverse le fleuve sans approcher l’eau.
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Zhāng Gài (XVIIème siècle) - Lors d’un séjour en montagne une nuit d’automne,
Lors d’un séjour en montagne une nuit d’automne,
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Les voyageurs passent la nuit au palais de Ceylan,
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Avec cithares et coupes, cette nuit nous réunit.
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Shì Hán Kĕ (1612 - 1660) - Une nuit à la Passe des Monts Maritimes
Une nuit à la Passe des Monts Maritimes
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Mots-clés : nuit voyage lointain
Shì Hán Kĕ (1612 - 1660) - Composé par une nuit froide
Composé par une nuit froide
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air d’« Un Maître très distingué »
Dans la nuit la pluie a fait tomber les fleurs,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Joie éternelle de la rencontre »
Toute une nuit sans retenue,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Joie éternelle de la rencontre »
Nuit après nuit s’attarde seule la pleine lune.
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air d’« En vain tant de décrets »
Sous la nuit froide toute mon affection s’adresse au voyageur lointain,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Le génie des bords du Fleuve »
Toute la nuit, il fera froid sur le bassin d’argent.
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air d’« Une cour pleine de parfum »
Par une nuit froide, à ressentir la séparation
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Toute la nuit entre apaisement et égarement.
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Qū Dà Jūn (1630 – 1696) - Une nuit passée au temple des Trésors Accumulés
Une nuit passée au temple des Trésors Accumulés
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Mots-clés : nuit montagne mystère
Qū Dà Jūn (1630 – 1696) - Bivouac aux Grottes des Sables d’Or
Une grue solitaire s’en revient au secret de la nuit.
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Toute une nuit perché au refuge troglodyte.
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Mots-clés : nuit nature attente
Chá Shèn Xíng (1650 – 1727) - Par une nuit glaciale, une halte au mont Pan Min – Sur la rime initiale
Par une nuit glaciale, une halte au mont Pan Min – Sur la rime initiale
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Enhardis par la nuit des rats affamés épient la chute de la lampe,
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Mots-clés : nuit octobre voyage
Chá Shèn Xíng (1650 – 1727) - Sur une barque de nuit pour décrire ce qu’on voit
Sur une barque de nuit pour décrire ce qu’on voit
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Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - Sur l’air de « Comme en songe »
Mots-clés : nuit fleuve frontières
Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - « Sur un air limpide et tranquille »
Un frisson de froid traverse la nuit,
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Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - Sur l’air de « Tout un fleuve de rouge »
Pire encore la nuit quand les corbeaux, rompant de leurs plaintes le passage des veilles,
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Je me souviens du jardin ancien, et cette nuit
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Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - Sur l’air de « Les divinités des rivières et des fleuves »
Mots-clés : nuit séparation chagrin
Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - Sur l’air de « Pour évoquer les fleurs de pêchers » (lento)
Perce la nuit ce froid comme de l’eau,
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Lì È (1692 – 1752) - Nuit lunaire au Temple du Prodigieux Mystère
Nuit lunaire au Temple du Prodigieux Mystère
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Lì È (1692 – 1752) - Sur l’air d’« Une musique à la hauteur du ciel »
En pleine nuit à quoi bon se plaindre d’avoir été séparés…
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Lì È (1692 – 1752) - En barque à Précieux-Exaucement, une nuit de lune
En barque à Précieux-Exaucement, une nuit de lune
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Le voyageur cette nuit fait halte sur la Huai limpide.
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Mots-clés : rivière nuit paysage
Zhèng Xiè (1693 –1765) - Sur l’air de « Le printemps au Parc de la Ch’in »
Nuit après nuit à la lampe solitaire.
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Yuán Méi (1716 – 1798) - Quand j’ai poussé la fenêtre
Cette nuit, le vent et la pluie se sont succédés, féroces,
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Yuán Méi (1716 – 1798) - La quinzième nuit de décembre
La quinzième nuit de décembre
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Cáo Xuĕ Qín (1716 ? – 1763 ?) - Complaintes des fèves rouges
Retarder sans refléter l’aube : cette clepsydre des veilles de nuit,
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Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Dans la trame enchevêtrée du souvenir
C’étaient ces étoiles, ces astres-là, mais non la nuit d’hier.
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Pour qui au vent, à la rosée, suis-je debout au milieu de la nuit ?
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Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - La vingtième nuit
La vingtième nuit
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À la fenêtre délabrée sur le bananier la pluie et la nuit font encore tressaillir,
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Un étrange démon approche une coquette pour une longue nuit d’idylle,
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Mots-clés : nuit voyage chagrin
Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Pour étreindre un reflet – L’enceinte intérieure de la capitale
Dans un palais vide, la nuit dernière, la couverture d’automne s’est défaite,
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Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Sur l’air de « La plainte de la Dame Éclatante »
Mots-clés : nuit lune
Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Sur l'air de « Le génie des bords du fleuve »
À la mi-automne, une nuit au belvédère des flots de la Qinhuai
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Mots-clés : nuit souvenirs tristes
Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Sur l’air d’« Un parfum dissipé »
Nuit nostalgique à la mi-automne
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Cette nuit devant les fleurs,
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Dans le froid de la rosée cette nuit, personne avec qui converser.
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Mots-clés : nuit solitude
Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Sur l’air d’« Un cheval dans le vent »
Dans le lointain de la nuit l’auberge solitaire plus claire, claire,
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Mots-clés : nuit solitaire
Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Au jardin des noix, levé dans la nuit
Au jardin des noix, levé dans la nuit
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Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Une nuit de printemps en entendant une cloche
Une nuit de printemps en entendant une cloche
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Mots-clés : nuit silence vide
Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Arrivée de nuit à l’auberge
Arrivée de nuit à l’auberge
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Mots-clés : nuit écriture