Wáng Wéi (701 – 761) - Les adieux
Les nuages blancs n’en finissent pas.
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Anthologie bilingue de la poésie chinoise tardive : Vent du Soir
Poèmes chinois
Wáng Wéi (701 – 761) - Les adieux
Les nuages blancs n’en finissent pas.
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Wáng Yŭ Chēng (954 – 1001) - Sur l’air d’« Une touche de rouge aux lèvres »
Colère de pluie, tourment de nuages,
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Lín Bū (967-1028) - Une nuit au Palais des Grottes Célestes
Les bosquets verts se piquent de nuages blancs.
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Liŭ Yŏng (987 ? – 1053 ?) - Sur l’air de « Les flots baignent le sable » (lento)
Nuages en perdition, pluie en défaut,
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Saurais-je quand cependant j’étreindrai des nuages de Qin la semblance ?
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Liŭ Yŏng (987 ? – 1053 ?) - Sur l’air d’« Un voyage de jeunesse »
Les nuages une fois repartis ne laissent traînée ni sillage,
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Zhāng Xiān (990 – 1078) - Sur l’air d’« Une immortelle céleste »
Par les nuages déchirés la lune viendra jouer avec l’ombre des fleurs.
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Yàn Shū (991 – 1055) - Sur l’air de « Les saules du belvédère »
Il t’arriva, si haut ! d’en arrêter la course des nuages.
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Oū Yáng Xiū (1007 – 1072) - Sur l’air d’« Un papillon épris d’une fleur »
Depuis quelques jours, ces nuages qui passent, où sont-ils partis ?
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Lĭ Gòu (1009 – 1059) - Le mal du pays
Pire, les collines de jaspe sont barrées par les nuages du soir.
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Wén Tóng (1018–1079) - Point de vue sur la Tour du Nuage
Mots-clés : paysage nuages
Yàn Jĭ Dào (1030 – 1106) - Sur l’air d’« Un papillon épris d’une fleur »
Rêves de printemps nuages d’automne,
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Yàn Jǐ Dào (1030 – 1106) - Sur l’air de « La saison des perdrix »
Nuages à perte de vue étendus,
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Yàn Jǐ Dào (1030 – 1106) - Sur l’air de « Pensée pour quelqu’un au loin »
Qu’on observe le vol des nuages qui passent et disparaissent,
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Yàn Jǐ Dào (1030 – 1106) - Sur l’air d’« Une pleine cour de parfums »
En ces lieux j’ai chanté nuages et rêvé pluie,
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Yàn Jǐ Dào (1030 – 1106) - Sur l’air d’« En marche sur la Voie Impériale »
Au faîte des arbres les fleurs merveilleuses s’entremêlent aux gracieux nuages,
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Yàn Jĭ Dào (1030 – 1106) - Sur l’air de « Le retour du Seigneur Ruan »
Les nuages à la suite des vols d’oies s’éloignent.
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Souvenir d’une gracieuse enfant »
Un chaos de roches, une avalanche de nuages,
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air d’« En souvenir d’une gracieuse enfant »
Les nuages dont rien ne laisse la trace.
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Shū Dăn (1041 – 1103) - Sur l’air de « La Belle de Yu »
Vers le nord vole un couple d’hirondelles qui s’est collé à la glace des nuages,
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Huáng Tíng Jiān (1045 – 1105) - Sur l’air de « Premier chant mélodique sur l’eau »
Entrer tout droit dans ces nuages blancs au plus profond,
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Huáng Tíng Jiān (1045 – 1105) - Sur l’air d’« Une fleur de magnolia » (mélodie sur quatre tons)
Sur fleuves et monts comme autrefois en nuages l’espace est d’azur,
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Cháo Yuán Lǐ (1046 – 1113) - Sur l’air d’« Un canard à tête verte »
Quant au soir les nuages se dissipent,
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Qín Guān (1049 – 1100) - Les Célestes du pont des pies
Tissu de nuages ouvragé,
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Qín Guān (1049 – 1100) - Sur l’air d’« Une pleine cour de parfums »
Les montagnes égratignent des nuages minuscules,
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Zhōu Bāng Yàn (1056 – 1121) - Sur l’air de « Les lotus loin des rives »
Sous d’épais nuages se perdent les herbes du rivage.
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Zhū Dūn Rú (1081 – 1159) - Sur l’air d’« Un ciel de perdrix »
Maintes fois, j’ai envoyé des rapports aux nuages suspendus afin qu’ils se réfèrent au règlement lunaire.
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Lĭ Gāng (1083 – 1140) - Sur l’air de « Six odes infimes »
Le brouillard affadit l’onde, les nuages s’espacent.
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Zhāng Yuán Gàn (1091 – vers 1170) - Sur l’air de « La contrée des roches » (lento)
Dans la solitude je languis sur l’oreiller après nuages et pluie,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Une fleur de magnolia » (version courte)
Il portait encore les traces de la rosée de l’aube aux nuages rougis.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Petite chaîne de montagnes »
D’une corbeille de nuages d’azur je broyais le jade en poussière,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Haïr le rejeton d’un prince »
Ce sont là des moments que je veux confier aux nuages qui passent,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Ivresse sous le couvert des fleurs »
Un brouillard ténu, des nuages épais, une interminable journée de tristesse…
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Laver le sable du torrent »
De minces nuages vont et viennent, la lune s’en est ternie.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Un bodhisattva d’ailleurs »
Les cris des cygnes de retour percent l’azur des nuages en lambeaux,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Un bodhisattva d’ailleurs »
Nuages de jais aux tempes qu’un tarin doré survole,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « La croissance d’un coing »
Je pense là-bas aux profondeurs des nuages de Chu,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Coupée d’un prunier »
Au beau milieu des nuages, qui donc vient d’expédier cette lettre brodée de fleurs ?
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Porteur d’encens »
Les nuages en font les marches, la lune en fait le sol,
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Yuè Fēi (1103 – 1142) - Sur l’air de « Tout un fleuve de rouge »
Sur huit cents lieues de routes ouvertes aux équipées entre nuages et lune,
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air d’« En souvenir d’une charmante suivante »
Tout un oreiller de nuages cache le froid pusillanime.
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Peines nouvelles les nuages et montagnes mille fois itérés.
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « La saison des perdrix »
Des lambeaux de nuages qui s’appuient sur l’eau quand le soir vient se dissipent.
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « Complainte du Dragon des eaux »
Quand je lève la tête au nord-ouest, ces nuages qui flottent
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air d’« En souvenir d’une charmante suivante »
Pour l’oreiller solitaire le paravent de nuages n’évite le froid qu’à peine.
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Nouvelle douleur, sur les montagnes en mille strates de nuages.
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Chén Liàng (1143 – 1194) - Sur l’air de « Complainte du dragon des eaux »
De minces nuages retiennent la pluie,
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Sous le souffle du vent les nuages se dissipent.
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Jiāng Kuí (1152 – 1220) - Sur l’air de « Laver le sable du torrent »
L’oie sauvage craintive devant les strates de nuages se retient de crier,
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Zhāng Zī (1153 – 1211) - Sur l’air de « Le pavillon du Mont des Hirondelles »
Les couches de nuages sans nulle trouée encore
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En vain j’observe le faîte des nuages irisés,
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Hăo Jīng (1223 – 1275) - Fleur tombée
Sous les nuages chatoyants, la pluie rouge des fleurs de pêchers occulte les grandes portes :
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Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Quinze variations (…) (15)
Face aux nuages du couchant, dans les étages des tours, de tout temps ce sentiment,
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Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - De passage à l’ancienne cité de Soleil-de-Jin, pour écrire ce qu'il en advint.
On espérerait voir les tours fortifiées au milieu des nuages et du brouillard.
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Moineau d’or – au dessus des arêtes des toits, les nuages et les pluies.
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Liú Chén Wēng (1232 – 1297) - Sur l’air de « Joie perpétuelle de la rencontre »
Le fard noir des nuages au loin se dilue,
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Wáng Yí Sūn (1240 ? – 1289 ?) - Sur l’air de « Des sourcils à ravir »
Observons, plus loin que nuages, sur monts et rivières,
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Lú Zhì (vers 1241 - après 1315) - Sur l’air de « Profonde ivresse sous le vent d’est »
Des chutes de nuages du soir et des canards solitaires volent ensemble.
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Dans le calme de la nuit sous la voile des nuages la clarté de la lune descend,
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Jiăng Jié (1245 ? – 1301 ?) - Sur l’air de « La Belle de Yu »
Le fleuve immense et les nuages bas espaçaient les oies sauvages qui vitupéraient le vent d’ouest.
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Jiăng Jié (1245 ? – 1301 ?) - Sur l’air de « Félicitations aux nouveaux mariés »
J’espérais, ce modèle des sourcils courtisans en nuages étirés,
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Bái Pŭ (1226 – après 1306) - Double ton – Sur l’air de « L’écoute du cheval arrêté »
Au-dessus de la terrasse des Phénix, le couchant est voilé de nuages,
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Liú Yīn (1249 – 1293) - Le gîte montagnard
Foulant l’eau, mon cheval y trouble le reflet des nuages du soir,
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Wáng Qīng Huì (~1265 – ~1294) - Sur l’air de « Tout un fleuve de rouge »
Vent et nuages sont disparus.
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Zhāng Yăng Hào (1270 – 1329) - Note médiane – Sur l’air de « Chanson du ciel matinal »
Je n’ai plus besoin du souffle pour soulever vent et nuages.
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Zhāng Yăng Hào (1270 – 1329) - Note médiane – Sur l’air de « Le douzième mois » suivi de « Le chant du peuple Yao »
Pour me remplir les yeux des nuages et des monts qu’on ne saurait rendre en peinture.
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Zhāng Kĕ Jiŭ (vers 1270 – vers 1348) - Sur l’air de « Des chaussures brodées de rouge »
Grimpés aux arbres des gibbons plaintifs jouent avec la pointe des nuages.
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Zhāng Kĕ Jiŭ (vers 1270 – vers 1348) - Sur l’air d’« Une odelette pour le lauréat »
Sous les nuages au loin des oies sauvages rapetissées,
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Dèng Yù Bīn Zĭ (? – ?) - Double ton – Sur l’air de « La chute d’une oie » suivie de « Chant de victoire »
Les affaires de ce siècle les mille changements des nuages.
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Qiáo Jí (1280 ? -1345) - En Do majeur – Sur l’air d’« Ivres dans une ère de paix »
Leurs crânes desséchés à botteler les nuages et coltiner la neige souffrent peine et misère,
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Qiáo Jí (1280 ? – 1345) - Sur l’air de « Les Ondines »
Sous un chaos de nuages derrière de vieux arbres le soleil du soir descend,
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Guàn Yún Shí (1286 – 1324) - La Roche aux fleurs de pêchers
Qui tortille aux lambeaux de nuages empourprés toutes les fines mèches.
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Yáng Wēi Zhēn (1296-1370) - Chanson à la cascade du Mont Lu
Mots-clés : cascade montagne nuages
Yáng Wēi Zhēn (1296-1370) - Chant des tiges de bambou au Lac de l’Ouest (4ème morceau)
Au pic du Sud les nuages, au pic du Nord la pluie,
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Nuages et pluie qui se bousculent m’attristent à mourir.
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Liú Jī (1311 – 1375) - L’ondée du dix-neuf mai
Oppressé de nuages, le tonnerre alerte d’un grondement ébranle le sol.
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Liú Jī (1311 – 1375) - Ce qu’inspire le voyage (I)
La pleine lune s’est campée à la lisière des nuages.
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Gāo Qĭ (1336 – 1374) - Chanson sous les passes
Gāo Qĭ (1336 – 1374) - Sur l’air de « Complainte du dragon des eaux »
Les nuages diaprés tombent soudain,
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Les nuages d’azurite offusquent toujours.
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Gāo Qĭ (1336 – 1374) - Lors d’un banquet
Folâtrer au milieu des nuages verts.
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Yú Qiān (1398 – 1457) - Sur la loyauté de Général Yuè au temple du Roi Guerrier
Sur les pures montagnes au tertre abandonné les nuages blancs se pressent.
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Wú Chéng Ēn (1500 – 1582) - Face à la lune, impression d’automne
Au dessus des humains, des nuages, du ciel, la lune
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Yáng Jì Shèng (1516 – 1555) - Ascension du Mont Tai
Cette présence des nuages blancs comme s’ils s’en retournaient.
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Mots-clés : montagne ascension nuages
Lĭ Zhì (1527 – 1602) - Assis seul
Assis seul pour accompagner du soir les nuages violacés.
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Gāo Pān Lóng (1562 – 1626) - Avec la roche pour chevet
Le corps, avec les nuages blancs allégé, ding...
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Qián Qiān Yì (1582 – 1664) - Au Monastère de Toute-Fragrance, offert au doyen Retiré-En-Lui-Même
Sur les mille collines aux nuages parfumés, la lumière oblique est ivresse.
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Mais la Voie couvre les collines : ce sont ces blancs nuages.
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Wú Wĕi Yè (1609 – 1672) - Sur l’air de « La croissance d’un coing »
Lorsqu’ils passent sous la voûte des feuillages et traversent les nuages,
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Zhāng Gài (XVIIème siècle) - Lors d’un séjour en montagne une nuit d’automne,
Au retour des nuages, mille torrents débordent,
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Shì Hán Kĕ (1612 - 1660) - Sous une pluie continuelle
Des nuages obstinés, des brouillards pesants enveloppent la ville et ses faubourgs,
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Shì Hán Kĕ (1612 - 1660) - Souvenir des Mille Collines
Presque à toucher les nuages blancs,
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Mots-clés : nuages montagnes torrents
Shì Hán Kĕ (1612 - 1660) - Improvisé dans les Milles Collines
Mais je redoute, à empoigner les nuages, d’être emporté au-delà des sommets.
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Jīn Shì Dàn Guī (1614 – 1680) - Sur l’air de « Petite chaîne de montagnes »
Nuages glacés en une aube pétrifiée,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Marcher sur un tapis de souchets »
Les nuages dans l’azur s’empilent encore sur les monts et rivières de toujours.
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Joie éternelle de la rencontre »
Dans un rêve écourté des nuages flottants,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Joie éternelle de la rencontre »
Les affaires du monde suivent le cours des nuages,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Le génie des bords du Fleuve »
En rêve mon âme déjà a rejoint le pays des eaux et des nuages.
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Des saules en plein vent »
Une journée à observer au loin les nuages du Sud,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air d’« Une cour pleine de parfum »
Nuages d’absence brouillard de chagrin,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air d’« Ode au dragon des eaux »
Des nuages ténus enveloppent mon chagrin,
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Zhū Yí Zūn (1629 – 1709) - Sur l’air de « La haute terrasse au soleil »
Quand il revint, déjà les nuages de son matin s’étaient dispersés,
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Zhū Yí Zūn (1629 – 1709) - Sur l’air d’« Une plainte depuis la galerie » (lento)
En une ligne au bord des nuages,
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Qū Dà Jūn (1630 – 1696) - Rencontre aux frontières avec Li Bisaïeul-Martial
Quand ils seront demain séparés par cent lieues de nuages jaunes,
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Xià Wán Chún (1631 – 1647) - En quittant le pays des nuages
En quittant le pays des nuages
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Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - « Sur un air limpide et tranquille »
Au plus haut du ciel parmi les nuages qui obstruent les passes,
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Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - Sur l’air d’« Une coupe de feuilles de lotus »
Se forment des nuages diaprés qui s’envolent et s’éloignent.
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Huáng Shèn (1687 – 1768) - Écrit sur une peinture – Le pêcheur s’en retourne
Dans l’ébranlement et l’effondrement des flots et des nuages s’en retourne la frêle barque de pêche,
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Lì È (1692 – 1752) - Sur l’air d’« En audience aux portes d’or »
Au delà des flots, des lambeaux de nuages d’aurore s’embrasent peu à peu,
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Lì È (1692 – 1752) - En suivant le cours de la Rivière-aux-Ronces
Telles qu’on les peindrait, les nuages et les brumes de montagne depuis l’ouest s’en retournent vers l’ouest,
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Zhèng Xiè (1693 –1765) - Sur l’air d’« En souvenir d’une charmante suivante »
Les moines ont accompagné les nuages solitaires très loin.
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Jiăng Shì Quán (1725 – 1785) - Écrit sur une peinture
Le vent comme coursier, les nuages comme véhicule, conviennent bien pour aller et venir.
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Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Sur l’air de « La plainte de la Dame Éclatante »
Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Perspective du soir
Dans les tourbillons de vent, effrayées, les corneilles soudain rentrent dans les nuages.
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Lín Zé Xú (1785 – 1850) - Impressions au sortir des Passes des Gorges Splendides – Composition en vers
Des cordons de murettes se penchent pour peser sur les nuages de Long, bas.
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