Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Quinze variations (…) (15)
Anthologie bilingue de la poésie chinoise tardive : Vent du Soir
Poèmes chinois
Anthologie bilingue de la poésie chinoise tardive : Vent du Soir
Poèmes chinois
Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Quinze variations (…) (15)
Lĭ Yù (937 － 978) - Sur l’air de « La Belle de Yu »
Les balustrades sculptées et les marches de jade, sans doute subsistent-elles encore !
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Sòng Qí (998 – 1061) - Sur l’air d’« Une fleur de magnolia »
Le printemps au pavillon de jade
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Oū Yáng Xiū (1007 – 1072) - Sur l’air d’« Un papillon épris d’une fleur »
Jade sur brides et selles gravées fréquentent les lieux de charme…
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Oū Yáng Xiū (1007 – 1072) - Sur l’air de « Le génie des bords du fleuve »
Le crochet de jade suspendu sous le drapeau du rideau.
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Oū Yáng Xiū (1007 – 1072) - Sur l’air d’« Un chant du Sud »
Un dragon ciselé sur son peigne de jade,
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Yàn Jĭ Dào (1030 – 1106) - Sur l’air de « La saison des perdrix »
Les manches chamarrées, toute attentionnée, des deux mains en coupe de jade, tu offrais à boire.
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Premier chant mélodique sur l’eau »
Mais redoute qu’en cette rotonde de rubis et de jade
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air d’« En souvenir d’une gracieuse enfant »
En ce domaine de jade aux tours de rubis,
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Félicitations au nouveau marié »
L’éventail et les mains alors semblent de jade.
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Vainement je suis tirée d’un rêve, rompu au détour d’une terrasse de jade,
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air d’« Un voyage de jeunesse »
La chair de jade, jeunesse poudrée de blanc, fait fi du givre d’automne,
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Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air de « Chanson de la fée des grottes »
Chair de glace, os de jade,
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Les ondes dorées pâlissent, la Corde de Jade a pivoté vers le sol.
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Huáng Tíng Jiān (1045 – 1105) - Sur l’air de « Premier chant mélodique sur l’eau »
Tant de jaspe vert aux plantes de jade blanc,
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Assis sur les pierres de jade,
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Incliné sur l’oreiller de jade,
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Huáng Tíng Jiān (1045 – 1105) - Sur l’air d’« En souvenir d’une charmante esclave »
Mener ainsi le carrosse de jade ?
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Cháo Yuán Lǐ (1046 – 1113) - Sur l’air d’« Un canard à tête verte »
Jade brillant immaculé, la Belle de Soie Écrue pâlissante s’érige et demeure,
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La terrasse de jade est froide,
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Qín Guān (1049 – 1100) - Les Célestes du pont des pies
Brise dorée, rosée de jade pour l’unique entrevue,
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Máo Páng (1067 – 1120) - Sur l’air de « Le génie des bords du fleuve »
L’Empereur de Jade ouvre les cieux d’azur,
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Zhū Dūn Rú (1081 – 1159) - Sur l’air d’« Un bonheur s’approche »
Pince des pleurs appuyée sur la cithare de jade.
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Zhū Dūn Rú (1081 – 1159) - Sur l’air d’« Un ciel de perdrix »
Des pavillons de jade, des palais d’or, la nonchalance m’a détourné.
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Sòng Huī Zōng – Zhào Jí (1082 – 1135) - Sur l’air de « D’un regard si charmeur »
De la Capitale de Jade déjà sont souvenirs vieillis les splendeurs et les fastes.
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Du Bois de Rubis, de la Galerie de Jade,
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Zhāng Yuán Gàn (1091 – vers 1170) - Sur l’air de « Le prince de la colline aux orchidées »
Rameaux de corail, disque de jade lunaire, c’est un printemps comme autrefois.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Les flots rincent le sable »
Contrariée elle contemple, balcon divin de jade blanc, la lune d’une nuit claire,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Cueillir des mûres »
Sous la broderie de soie rouge, la chair de glace a l’éclat du jade poli,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Le génie des bords du fleuve »
Le jade s’amincit, l’ocre rouge pâlit en remords infini,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Des perdrix de bon augure »
Leur ossature de jade, leur chair cristalline ne se laissent pas flétrir.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Laver le sable du torrent »
De l’athanor de jade le liquide trouble s’évapore en volutes déchiquetés,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Petite chaîne de montagnes »
D’une corbeille de nuages d’azur je broyais le jade en poussière,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Haïr le rejeton d’un prince »
La flûte de jade s’est tue, le joueur disparu on ne sait où.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Inopportune et capricieuse »
Jade aminci, parfum concentré,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Ivresse sous le couvert des fleurs »
Sur l’oreiller de jade, sous la tenture de gaze,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Laver le sable du torrent »
Le brûloir d’aromates en canard de jade laisse un répit fumigatoire,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « L’orgueil d’un pêcheur »
Ces Belles de jade au sortir du bain fraîchement fardées et rincées.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Le printemps au pavillon de jade »
Sur l’air de « Le printemps au pavillon de jade »
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Les flots rincent le sable »
Il me revient comme, la barrette de jade de travers, je tisonnais le feu,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Souvenir d’une charmante suivante »
Tandis que je languis appuyée à la balustrade de jade.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Un bonheur s’approche »
Plus d’alcool, les chants tus, le gobelet de jade vide,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « De nombreuses beautés »
La neige se purifie et le jade s’amincit,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Coupée d’un prunier »
Les effluves des rhizomes rouges s’effacent, la natte de jade est d’automne.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Un chant du Sud »
Marquetés de jade les capsules de lotus s’amoindrissent,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’ « Une pleine cour de parfums »
Crochets de jade chaînes dorées
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) -
L’aquilaire par moment odore, le brûloir de jade s’est refroidi,
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Le joueur de flûte s’en est allé, le pavillon de jade est vide.
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Joie éternelle de la rencontre »
Quand les nuées du couchant se joignent en disque de jade,
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Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Rêve à l’aube
Qui a soufflé toutes les fleurs du Puits de Jade.
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Yuè Fēi (1103 – 1142) - Sur l’air de « Petite chaîne de montagnes »
Je voudrais confier ce que j’ai sur le cœur à la cithare de jade,
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air d’« Une table basse de lazurite »
Le vase de jade qui brille les toupine,
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Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « Taquiner le poisson »
Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « Complainte du Dragon des eaux »
L’Épingle de Jade, le Chignon Spiralé.
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Jiāng Kuí (1152 – 1220) - Odelette des pruniers de jade (au premier ton)
Odelette des pruniers de jade (au premier ton)
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Là, des pruniers de jade, tant !
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Jiāng Kuí (1152 – 1220) - Sur l’air d’« Une plainte depuis la galerie » (lento)
Comment a-t-il pu négliger l’alliance quand lui fut l’anneau de jade confié ?
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Jiāng Kuí (1152 – 1220) - Complainte du pavillon aux martins-pêcheurs
Une échelle de jade cristallisa l’espoir longtemps,
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Guān Hàn Qīng (1210 — 1280) - Sur l’air de « Quatre blocs de jade »
Hăo Jīng (1223 – 1275) - Fleur tombée
Cette balustrade de jade dans la brume froide, ces mille arbres et ce vide !
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Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Sur l’air de « Conduire les héros sous escorte »
Une vertu d’azur, une distinction de jade hautes de trente mille pieds
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Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - De passage à l’ancienne cité de Soleil-de-Jin, pour écrire ce qu'il en advint.
À la porte de l’est, dragon d’azur, à l’ouest tigre de jade,
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Liú Chén Wēng (1232 – 1297) - Sur l’air de « Joie perpétuelle de la rencontre »
En disque de jade la lune s’éclaire,
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Zhōu Mì (1232 – 1298) - Sur l’air de « L’automne dans la capitale de jade »
Sur l’air de « L’automne dans la capitale de jade »
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Wáng Yí Sūn (1240 ? – 1289 ?) - Sur l’air de « Des sourcils à ravir »
Quelle merveille de voir lentement limer la hache de jade,
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Chén Fú (1240 – 1303) - Gîte précaire à Strates-de-Jade
Chén Fú (1240 – 1303) - Décor de neige sur le fleuve
Très loin là-bas sont roulées les fleurs de jade,
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Jiăng Jié (1245 ? – 1301 ?) - Sur l’air de « Félicitations aux nouveaux mariés »
Dans l’édifice aux canards on a renversé et brisé l’ustensile de jade,
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Zhāng Yán (1248 —1320) - Sur l’air de « Flûte traversière sous la lune »
Zhāng Yán (1248 — 1320) - Sur l’air de « Délivrer des chaînes »
Je crains de revoir surgir le défilé de Jade.
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Bái Pŭ (1226 – après 1306) - Double ton – Sur l’air de « L’écoute du cheval arrêté »
Les flûtes de jade sont propres en large et en travers à clarifier et même purifier.
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Zhào Mèng Fŭ (1254 – 1322) - Quatrain
Qui, au profond de la nuit, joue de cette flûte de jade ?
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Wáng Qīng Huì (~1265 – ~1294) - Sur l’air de « Tout un fleuve de rouge »
La Tour de Jade et les Portes d’or du palais impérial.
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Zhāng Kĕ Jiŭ (vers 1270 – vers 1348) - Sur l’air de « Sable purifié de ciel »
Dans la tour de jade, c’est une petite figure de la séparation,
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Zhāng Kĕ Jiŭ (vers 1270 – vers 1348) - Sur l’air de « Ballade sur le fleuve limpide »
Depuis qu’aux Passes de Jade il est parti,
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Zhāng Kĕ Jiŭ (vers 1270 – vers 1348) - Sur l’air de « Ballade sur le fleuve limpide »
Derrière la haie clairsemée, sur des pruniers de jade trois au quatre boutons.
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Zhāng Kĕ Jiŭ (vers 1270 – vers 1348) - « Odelette du village fortifié »
De la flûte de jade la fraîcheur pure dégrise, dans le pavillon au dessus du fleuve.
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Dèng Yù Bīn Zĭ (? – ?) - Double ton – Sur l’air de « La chute d’une oie » suivie de « Chant de victoire »
Éloignée de mille lieues la passe des Portes de Jade,
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Guàn Yún Shí (1286 – 1324) - Douleur des adieux
Les arbres de jade droits dressés se teintent de larmes rouges.
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Yáng Wēi Zhēn (1296－1370) - Chanson à la cascade du Mont Lu
Un arc en ciel de jade renversé suspendu sur l’abysse clair et frais.
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Sà Dū Là (vers 1300 ? – vers 1355 ? mandarin en 1327) - Sur l’air de « Tout un fleuve de rouge »
Du chant de l’Arbre de jade ne reste qu’une rosée d’automne qui transit,
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De la Huai des Ch’in le jade.
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Liú Jī (1311 – 1375) - Ballade sur la bise du nord
Le général sous la tente de jade est en manteau de martre,
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Gāo Qĭ (1336 – 1374) - Pruniers en fleurs
À vos grâces seul convient pour écrin un balcon de jade ;
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Gāo Qĭ (1336 – 1374) - Deux nénuphars au froid des vagues de jade
Deux nénuphars au froid des vagues de jade
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Un plein fleuve de jade brouillasseux verse un parfum ancien,
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Gāo Qĭ (1336 – 1374) - Lors d’un banquet
Vous me semblez comme sur un balcon de jade merveilleux
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Le crochet de jade a fixé la vacillation lunaire,
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Wú Chéng Ēn (1500 – 1582) - Face à la lune, impression d’automne
Ce visage de jade jusqu’où s’approche-t-il ?
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Yuán Hóng Dào (1568 – 1610) - Composition hasardeuse, offerte à Maître Fang
Pendu à la ceinture, le disque de jade est une chose millénaire.
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Qián Qiān Yì (1582 – 1664) - En réponse à Sheng Joie-De-Collectionner - La chute des feuilles
Je ne sais si la rosée de jade par le vent frais est hâtée,
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Chén Zĭ Lóng (1608 – 1647) - Cette nuit d’octobre
Pics de jade, pics d’où, goutte après goutte, suinte dans la profondeur du silence.
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Wú Wĕi Yè (1609 – 1672) - Sur l’air de « Comme en songe »
À petites gorgées, en spirale de jade, un bol de printemps.
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Joie éternelle de la rencontre »
Sur les dalles de jade la pluie fine,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air de « Joie éternelle de la rencontre »
Devant les pavillons de jade blanc,
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Xú Càn (vers 1617 — vers 1693) - Sur l’air d’« En vain tant de décrets »
Une flûte de jade est jouée dans l’automne limpide,
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Gù Yán Wŭ (1619 – 1682) - Composition pour saisir les branches de saules
Des anciens souverains le trône de jade dans la salle de l’Harmonie Divine …
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Zhū Yí Zūn (1629 – 1709) - Sur l’air de « La haute terrasse au soleil »
Quelle déception de trouver la claire ceinture de jade refroidie,
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Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - Sur l’air de « Tout un fleuve de rouge »
À la balustrade de jade, qui est venue s’appuyer ?
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Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - Sur l’air d’« Une coupe de feuilles de lotus »
Une broche de jade qui frappe les bambous soudain résonne.
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Lì È (1692 – 1752) - Sur l’air d’« Une musique à la hauteur du ciel »
À la fenêtre de jade quand on tire le rideau, fatigué,
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Lì È (1692 – 1752) - Sur l’air d’« Une musique à la hauteur du ciel »
Un dragon de jade autour de l’horizon enroulé.
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Yuán Méi (1716 – 1798) - Sur l’air de « Tout un fleuve de rouge »
Autour de ses mains de jade,
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Cáo Xuĕ Qín (1716 ? – 1763 ?) - Complaintes des fèves rouges
Ingurgiter sans avaler : ce sont les grains de jade et les lampées d’or qui encombrent la gorge à s’étouffer ;
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Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Sur l'air de « Le génie des bords du fleuve »
Une flûte de jade joue à minuit,
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Lín Zé Xú (1785 – 1850) - Mélanges lyriques d’au-delà des passes – Morceau choisi
Aux Monts Célestes dix mille lingots s’élancent en jade précieux,
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