Poème calligraphié par l'empereur Huizong

Anthologie bilingue de la poésie chinoise tardive : Vent du Soir

Poèmes chinois

75 poèmes chinois trouvés dans l'anthologie pour « saules »

Lĭ Jiă (époque Song) - Sur l’air d’« En souvenir d’un petit-fils de roi »

Au-delà des saules, les âmes écorchées en vain au faîte du pavillon (...)

Kòu Zhŭn (961 – 1023) - Sur l’air de « La mélodie des Passes du Soleil »

Voyez là si verdoyants les saules, (...)

Liŭ Yŏng (987 ? – 1053 ?) - Sur l’air de « Tintements d’une pluie sans fin »

Berges de saules et peupliers, vent de l’aube, lune décroissante. (...)

Liŭ Yŏng (987 ? – 1053 ?) - Sur l’air d’« Un voyage de jeunesse »

D’en haut des saules chahutent les cigales siffleuses. (...)

Liŭ Yŏng (987 ? – 1053 ?) - Sur l’air d’« Une musique de minuit »

Des saules malingres dissimulent leurs reflets. (...)

Zhāng Xiān (990 – 1078) - Sur l’air d’« Un âge de mille automnes »

À Perpétuelle-Abondance des saules, (...)

Zhāng Xiān (990 – 1078) - Sur l’air d’« Une gerbe de fleurs »

Le chagrin d’être séparé, le voici qu’il chahute par milliers les filaments des saules, (...)

Yàn Shū (991 – 1055) - Sur l’air de « Marcher sur un tapis de souchets »

Le vent printanier étourdiment s’est approprié les fleurs de saules, (...)

Yàn Shū (991 – 1055) - Sur l’air de « Les saules du belvédère »

Sur l’air de « Les saules du belvédère » (...)
Au dessus du commun des Fleurs et Saules, (...)

Sòng Qí (998 – 1061) - Sur l’air d’« Une fleur de magnolia »

Des saules verts le brouillard s’échappe, les nuées aurorales s’allègent, (...)

Oū Yáng Xiū (1007 – 1072) - Sur l’air d’« Un papillon épris d’une fleur »

Peupliers et saules sous l’amoncellement des brumes, (...)

Oū Yáng Xiū (1007 – 1072) - Sur l’air de « Marcher sur un tapis de souchets »

Au pont du ruisseau les saules s’effilent, (...)

Oū Yáng Xiū (1007 – 1072) - Sur l’air d’« Un papillon épris d’une fleur »

Confusion d’un chagrin printanier soulevé comme les chatons des saules, (...)

Oū Yáng Xiū (1007 – 1072) - Sur l’air de « Le génie des bords du fleuve »

Léger tonnerre derrière les saules, pluie sur le bassin, (...)

Oū Yáng Xiū (1007 – 1072) - Sur l’air de « Cueillir des mûres »

Aux saules pleureurs s’enchevêtre tout un jour le vent. (...)

Oū Yáng Xiū (1007 – 1072) - Sur l’air abrégé de « Les flots baignent le sable »

Sous les saules pleureurs et sur le sentier pourpre à l’est de la Cité-sur-la-Luo, (...)

Yàn Jǐ Dào (1030 – 1106) - Sur l’air de « L’allégresse du retour aux champs »

Devant les portes autour des saules pleureurs, le duvet ne tourbillonne pas encore. (...)

Yàn Jĭ Dào (1030 – 1106) - Sur l’air de « La saison des perdrix »

Tu dansas : jusqu’à ce que descendît, au cœur du pavillon des Saules, la lune. (...)

Sū Shì (1037 – 1101) - Sur l’air d’« Un voyage de jeunesse »

La neige volait comme fleurs de saules. (...)
Les fleurs de saules tombent comme neige. (...)

Qín Guān (1049 – 1100) - Sur l’air d’« Observer les marées »

Sous les saules au sentier des pêchers, (...)

Qín Guān (1049 – 1100) - Sur l’air de « Quarante-huit enfants »

Je me souviens s’éloignant des saules le cheval gris pommelé après qu’on se fut quitté, (...)

Zhōu Bāng Yàn (1056 – 1121) - Sur l’air de « Le prince de la colline aux orchidées »

Des saules l’ombre tombe droit, (...)

Yè Mèng Dé (1077 – 1148) - Sur l’air de « Félicitations au nouveau marié »

Il ne reste que les saules qui se prennent à danser. (...)

Yè Mèng Dé (1077 – 1148) - Sur l’air de « La Belle de Yu »

Et voici les chatons de saules (...)

Zhū Dūn Rú (1081 – 1159) - Sur l’air d’« Un bonheur s’approche »

Derrière la tour les chatons des saules font infusion jaune. (...)

Zhāng Yuán Gàn (1091 – vers 1170) - Sur l’air de « Le prince de la colline aux orchidées »

De l’autre côté de la balustrade, des saules brouillasseux modulent l’éclaircie, (...)

Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - « Poésie en musique »

Les saules s’envolent ouate légère, (...)

Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Laver le sable du torrent »

Les pruniers sauvages déjà sont passés, les saules ont formé leur ouate, (...)

Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Souvenir d’une charmante suivante »

Pour les fleurs délicates de mes saules favoris, la fête du repas froid est proche, (...)

Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air d’« Un papillon épris d’une fleur »

Les saules ouvrent les yeux, les pruniers gonflent les joues, (...)

Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Le génie des bords du fleuve »

Pousses des saules corolles des pruniers peu à peu se discernent : (...)

Lǐ Qīng Zhào (1084 – après 1149) - Sur l’air de « Joie éternelle de la rencontre »

S’imprègnent les saules de vapeurs épaisses, (...)

Yuè Fēi (1103 – 1142) - Sur l’air de « Tout un fleuve de rouge »

Je me souviens qu’en ces années-là les fleurs cachaient et les saules couvraient (...)

Lù Yóu (1125 – 1210) - Le jardin Shen (Deux poèmes)

Au jardin Shen les saules vieillis n’expirent plus leurs chatons. (...)

Lù Yóu (1125 – 1210) - Voyage dans les collines au Village-de-l’Ouest

Caché par les saules, éclatant de fleurs, surgit un village. (...)

Zhāng Xiào Xiáng (1132 – 1169) - Sur l’air de «  La lune sur le fleuve de l’ouest »

Des peupliers et des saules tous les chatons me caressent le visage. (...)

Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air d’« En souvenir d’une charmante suivante »

Sous les saules pleureurs les chevaux attachés, (...)

Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « Le printemps au palais des Han »

Qui fait embaumer les pruniers et s’épancher les saules, (...)

Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air d’« Une table basse de lazurite »

Coiffes de phalènes, saules de neige, jaunes broderies d’or, (...)

Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air de « Taquiner le poisson »

Rejoint les saules brouillasseux qui déchirent le cœur. (...)

Xīn Qì Jí (1140 – 1207) - Sur l’air d’« En souvenir d’une charmante suivante »

Sur les saules pleureurs, un cheval attaché, (...)

Chén Liàng (1143 – 1194) - Sur l’air de « Complainte du dragon des eaux »

Des saules pleureurs l’or pâlit. (...)

Jiāng Kuí (1152 – 1220) - Sur l’air de « La saison des perdrix »

Les saules sont chiches, les pruniers petits, ils ne m’ont pas ouvert les voies de la perception. (...)

Jiāng Kuí (1152 – 1220) - Sur l’air d’« Une plainte depuis la galerie » (lento)

« Il y a bien des années j’ai fait planter des saules si souples sur la berge sud de la Han. (...)

Liú Guò (1154–1206) - Sur l’air de « Le printemps au parc de la Rivière-Cœur »

Le Camp des Saules est aux ordres. (...)

Liú Guò (1154–1206) - Sur l’air de « Sur le bassin tant de chansons »

Sous les saules, les embarcations amarrées partout n’y resteront pas, (...)

Yáng Guŏ (1195 - 1269) - Sur la tonalité de Yué – Sur l’air de « Le rouge d’un petit pêcher »

Derrière les saules en barques d’orchidée passent, (...)

Wú Wén Yīng (1207 ? - 1269 ?) - Sur l’air d’« En vain tant de décrets »

Les saules pleureurs n’ont pas enlacé la ceinture de sa jupe pour la retenir, (...)

Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - En revenant depuis Domaine-de-Zhao vers Famille-Couronnée, deux poèmes.

Les peupliers et les saules en l’absence de vent arrangent leurs filaments verts. (...)

Yuán Hăo Wèn (1190 – 1257) - Quinze variations (…) (15)

Wén Tiān Xiáng (1236 – 1283) - En traversant la Mer de la Désolation

Paysages, monts et rivières ravagés, gâchés, le vent projette le duvet des saules, (...)

Wáng Yí Sūn (1240 ? – 1289 ?) - Sur l’air de « Une musique à la hauteur du ciel »

Parmi les fils des saules en mille, dix mille brins. (...)

Wáng Yí Sūn (1240 ? – 1289 ?) - Sur l’air de « Des sourcils à ravir »

Peu à peu une nouvelle cédille s’est accrochée aux saules, (...)

Zhāng Yán (1248 —1320) - Sur l’air de « Flûte traversière sous la lune »

À Splendeurs-Successives les saules ne sont pas si nombreux, (...)

Bái Pŭ (1226 – après 1306) - Double ton – Sur l’air de « L’écoute du cheval arrêté »

Le Seigneur Liu se méprit sur le vent devant les saules. (...)

Bái Pŭ (1226 – après 1306) - Sur l’air de « Profonde ivresse sous le vent d’est »

Le long de la digue aux saules verts, au bout de la plage aux renouées rouges, (...)

Zhào Mèng Fŭ (1254 – 1322) - Chronique d’un voyage ancien

Des corolles blanches s’ouvrent et se flétrissent, les saules si souples, (...)

Zhāng Kĕ Jiŭ (vers 1270 – vers 1348) - « Odelette du village fortifié »

Sur la digue des Sui subsistent les saules verts, (...)

Guàn Yún Shí (1286 – 1324) - Sur l’air de « Réjouissances devant le palais »

Derrière peupliers et saules un nouveau ciel clair. (...)

Gāo Qĭ (1336 – 1374) - Aile à aile, rondes d’hirondelles

Le charme des saules embaume les couchants embrumés. (...)

Gāo Qĭ (1336 – 1374) - Un jour de printemps, souvenir sur le fleuve

Sous les saules la marée du printemps a submergé d’anciens récifs, (...)

Gāo Qĭ (1336 – 1374) - La neige tombe. (Deux poèmes)

Le teint des saules se change en années d’argent. (...)

Táng Yín (1470 – 1523) - …En moi-même, Auprès d’un cœur,…

Sur les traces du pays des Fleurs réuni au pays des Saules. (...)

Wú Wĕi Yè (1609 – 1672) - Sur l’air de « Comme en songe »

Au caprice du vent la souplesse des filaments de saules. (...)

Gù Yán Wŭ (1619 – 1682) - Composition pour saisir les branches de saules

Composition pour saisir les branches de saules (...)

Zhū Yí Zūn (1629 – 1709) - Sur l’air de « Le génie des bord du fleuve »

La bourre des saules sur le point de s’envoler retombe lourdement. (...)

Zhū Yí Zūn (1629 – 1709) - Sur l’air d’« En souvenir de nos jeunes années »

Venelles des quartiers aux saules pleureurs, (...)

Nà Lán Xìng Dé (1655 – 1685) - Sur l’air de « Les chroniques du fleuve »

Pendaient les fils des saules (...)

Jīn Nóng (1687 – 1764) - Les saules

Les saules (...)

Huáng Shèn (1687 – 1768) - Écrit sur une peinture – Le pêcheur s’en retourne

Peupliers et saules s’élancent et s’étirent dans les sinuosités du bourg, (...)

Zhèng Xiè (1693 –1765) - « En souvenir d’une charmante suivante »

S’impose aux saules de dépérir. (...)

Cáo Xuĕ Qín (1716 ? – 1763 ?) - Complaintes des fèves rouges

S’ouvrir sans finir : ce sont des saules printaniers les fleurs printanières qui se répandent dans le pavillon peint ; (...)

Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Jour de printemps, regard depuis le pavillon

Vers l’horizon vole la bourre des saules, où s’en retourne-t-elle ? (...)

Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Sur l'air de « Le génie des bords du fleuve »

Aux saules pleureurs en vain les chevaux attachés, (...)

Huáng Jĭng Rén (1749 – 1783) - Perspective du soir

Dans les marais les lis, sur les grèves les saules, se sont répandus pêle-mêle. (...)